Les offres exceptionnelles proposées sur le Net tous les « lundi » qui suivent Thankgiving font toujours de plus en plus d’émules aux États-Unis et drainent une foule de cyberacheteurs. Cortix vous explique qu’en cette année 2010, les transactions effectuées en e-commerce ont été plutôt particulièrement profitables pour les e-marchands.
Le volume de ces achats en ligne a atteint en 24 heures plus d’un milliard de dollars ! Ce qui représente une augmentation de 16 % par rapport au Cyber Monday de 2009.
L’attrait des offres promotionnelles a incité les cyberacheteurs à dépenser plus.
Le site « Comscore » a mis en relief cette hausse record en expliquant que c’est grâce à une augmentation moyenne d’environ 12% des dépenses individuelles par cyberacheteur et que le nombre de ces cyberclients n’a augmenté que de 4% pour atteindre le nombre total de 9 millions. Gian Fulgoni, fondateur de ce site, a dû reconnaitre aussi qu'une partie importante du boum de ces dépenses dépend directement de l’attractivité des offres promotionnelles.
Nouveau : Une utilisation importante des « smartphones » pour acheter en ligne
Cortix vous fait remarquer que parmi les remarques importantes relevées au niveau des nouvelles tendances en ce denier « Cyber Monday » a vu l’apparition d’une utilisation importante des smartphones pour acheter en ligne, d’où l’apparition du « m-commerce » !
Par rapport à 2009 et selon l’AFP, Paypal a bénéficié d’une majoration de 292 % des paiements via les mobiles, ce qui augure d’un avenir radieux pour le e-commerce.
vendredi 24 décembre 2010
[Cortix actu] : À portée de clics, le cyber-Rush constaté sur Internet est aux couleurs de Noël afin de faire rapidement des achats malins.
Cortix vous dévoile qu’en cette période de fêtes, le budget moyen des Français, pour les achats en ligne de Noël, s’élèverait suivant certaines prévisions basées sur des projections réalisées par Symantec, à 238 euros par personne. Le montant total que les Français s’apprêtent donc à dépenser serait de l’ordre de 5,9 milliards d’euros.
En effet cette étude démontre que 15,2 millions d’internautes ont l’intention, en cette fin d’année 2010, d’acheter via Internet. Les achats ont déjà commencé depuis fin novembre et se poursuivront jusqu’à la veille de Noël.
•65 % d’entre eux seraient des jeunes, âgés de 18 à 24 ans qui surferont à travers les offres en ligne pour établir leurs listes de cadeaux.
•Forcément, ce sont les adultes qui se réservent la plus grosse part de dépenses sur Internet.
•Avec des budgets de 187,92 € pour la région parisienne et 198,55 € pour le Sud-Ouest de l’Hexagone, ces régions s’illustrent par les budgets prévisionnels les plus élevés.
•Parallèlement à ces chiffres, l’étude rappelle quand même que 24 % des personnes sondées demeurent hésitants et appréhendent les achats sur le net de peur, de se faire pirater leurs coordonnées bancaires ou même encore, risquer l’usurpation de leur identité.
Les joies de Noël dépendent aussi du gain de temps réalisé et de l’attractivité des prix
Marc Lolivier, délégué général de la FEVAD (Fédération du e-commerce et de la vente à distance) et qui est aussi Vice-Président de l’Union Française du Marketing Direct et Vice-Président de la Fédération Européenne du Marketing Direct, affirme que la majorité des produits achetés en ligne pour finir sous les sapins de Noël tournent autour de l’électronique, du textile et des cosmétiques.
L’attractivité des promotions des e-marchands se base sur de bas prix et de courts délais de livraison. En effet, la logistique et la livraison des achats sont primordiales dans cette course contre la montre. S’assurer des services d’un bon logisticien est incontournable et jouer la transparence est également recommandé : pour ce faire, les e-commerçants sont encouragés à être compétitifs, mais aussi à communiquer sur les délais de livraison.
En effet cette étude démontre que 15,2 millions d’internautes ont l’intention, en cette fin d’année 2010, d’acheter via Internet. Les achats ont déjà commencé depuis fin novembre et se poursuivront jusqu’à la veille de Noël.
•65 % d’entre eux seraient des jeunes, âgés de 18 à 24 ans qui surferont à travers les offres en ligne pour établir leurs listes de cadeaux.
•Forcément, ce sont les adultes qui se réservent la plus grosse part de dépenses sur Internet.
•Avec des budgets de 187,92 € pour la région parisienne et 198,55 € pour le Sud-Ouest de l’Hexagone, ces régions s’illustrent par les budgets prévisionnels les plus élevés.
•Parallèlement à ces chiffres, l’étude rappelle quand même que 24 % des personnes sondées demeurent hésitants et appréhendent les achats sur le net de peur, de se faire pirater leurs coordonnées bancaires ou même encore, risquer l’usurpation de leur identité.
Les joies de Noël dépendent aussi du gain de temps réalisé et de l’attractivité des prix
Marc Lolivier, délégué général de la FEVAD (Fédération du e-commerce et de la vente à distance) et qui est aussi Vice-Président de l’Union Française du Marketing Direct et Vice-Président de la Fédération Européenne du Marketing Direct, affirme que la majorité des produits achetés en ligne pour finir sous les sapins de Noël tournent autour de l’électronique, du textile et des cosmétiques.
L’attractivité des promotions des e-marchands se base sur de bas prix et de courts délais de livraison. En effet, la logistique et la livraison des achats sont primordiales dans cette course contre la montre. S’assurer des services d’un bon logisticien est incontournable et jouer la transparence est également recommandé : pour ce faire, les e-commerçants sont encouragés à être compétitifs, mais aussi à communiquer sur les délais de livraison.
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jeudi 9 décembre 2010
[Cortix actu] Sénat : Feu vert pour l’instauration de la « taxe » sur la Publicité en ligne et un « niet » sur celle de l’e-commerce.
Cortix revient vers vous quant à la Taxe appelée communément « Taxe Google », pour vous annoncer qu’elle vient d’être adoptée par le Sénat. Ce nouvel amendement qui sera mis en application en 2011, taxera la publicité en ligne à raison de 1%. Par contre, la deuxième proposition établie par le même Sénateur Philippe Marini (rapporteur de la loi de finances), qui concerne la taxation des transactions B To B de l’e-commerce, s’est vue opposer une fin de non-recevoir.
En effet, cette proposition de taxe de 0.5% sur les transactions électroniques (en ligne) B To B n’a pas pu passer le cap du Sénat à cause d’une forte opposition de la part du gouvernement de Nicolas Sarkozy. Cette taxe freinerait et ralentirait toute volonté d’évolution numérique des entreprises françaises. Elle augmenterait la fracture numérique vis-à-vis des autres acteurs européens et mondiaux dans la course en ligne du « Business To Business ». Les relations commerciales interentreprises seraient pénalisées par cette taxe dès qu’elles envisageraient d’effectuer une commande ou une transaction sur internet.
Cortix a relevé que la taxe qui vient d’être adoptée, concernant les annonceurs français en ligne, rapporterait, rien que pour l’État de 10 et 20 millions d’euros. Cette taxe sur la publicité, qui sera appliquée sur le « montant des dépenses engagées pour l’achat de toute fourniture de biens et/ou services effectué au moyen d’une communication électronique », représenterait un montant de 400 à 500 millions d’euros.
Devant l’apport conséquent de cette nouvelle manne financière et comme l’appétit vient en mangeant, un nouveau groupe de travail vient d’être désigné pour bien réfléchir sur la fiscalité du commerce électronique sans nuire aux perspectives d’évolutions des entreprises françaises (voire peut être une taxation sur les boutiques en ligne et les magasins en dur) …!
En effet, cette proposition de taxe de 0.5% sur les transactions électroniques (en ligne) B To B n’a pas pu passer le cap du Sénat à cause d’une forte opposition de la part du gouvernement de Nicolas Sarkozy. Cette taxe freinerait et ralentirait toute volonté d’évolution numérique des entreprises françaises. Elle augmenterait la fracture numérique vis-à-vis des autres acteurs européens et mondiaux dans la course en ligne du « Business To Business ». Les relations commerciales interentreprises seraient pénalisées par cette taxe dès qu’elles envisageraient d’effectuer une commande ou une transaction sur internet.
Cortix a relevé que la taxe qui vient d’être adoptée, concernant les annonceurs français en ligne, rapporterait, rien que pour l’État de 10 et 20 millions d’euros. Cette taxe sur la publicité, qui sera appliquée sur le « montant des dépenses engagées pour l’achat de toute fourniture de biens et/ou services effectué au moyen d’une communication électronique », représenterait un montant de 400 à 500 millions d’euros.
Devant l’apport conséquent de cette nouvelle manne financière et comme l’appétit vient en mangeant, un nouveau groupe de travail vient d’être désigné pour bien réfléchir sur la fiscalité du commerce électronique sans nuire aux perspectives d’évolutions des entreprises françaises (voire peut être une taxation sur les boutiques en ligne et les magasins en dur) …!
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lundi 29 novembre 2010
[Cortix actu] : Le Sénat cherche à taxer la publicité en ligne et l’e-commerce
Cortix vous fait observer ci-après que le rapporteur au Sénat de la loi des finances, Philippe Marini, a commencé par faire adopter en commission de Sénat, mais la procédure est encore longue, deux nouvelles lois concernant de nouvelles taxes à appliquer sur les activités en ligne pour la publicité et l’e-commerce des entreprises.
Dans une première proposition, le sénateur Philippe Marini avait déjà tenté d’ajouter à la redevance TV, les supports d’information numériques suivants : ordinateurs et autres tablettes tactiles.
Revenant à la charge, il propose aujourd'hui de taxer les activités on-line. Au niveau publicitaire, il est question d’appliquer une nouvelle redevance appelée communément « taxe Google ». Les annonceurs français paieraient une redevance de l’ordre de 1 % sur le total de leurs investissements publicitaires on-line. Une taxe qui ne serait supportée que par les acheteurs ! L’intention première des sénateurs viserait la récupération d’une fraction des revenus publicitaires qui profitent à des entreprises hors France en survolant de loin les caisses du fisc français.
Suivant un deuxième projet d’amendement applicable éventuellement à partir du 1er janvier 2011, une taxe sera appliquée sur les achats de services de commerce électronique en fonction de l’assiette des dépenses engagées pour l'acquisition de fournitures, de biens ou services effectués par le biais d’un support électronique.
À hauteur de 0,5 %, cette taxe concernerait les entreprises dont le chiffre d’affaires serait supérieur à 460 000 € par an. L’argument principal du sénateur Philippe Marini qui défend son amendement prétend que cette taxe réduirait les niches fiscales et lutterait contre la fraude. Elle adapterait aussi les assiettes fiscales aux évolutions technologiques. Le sénateur explique aussi que les transactions en ligne sont une assiette fiscale "moderne" par rapport à l'assiette vieillissante de la plupart des impôts ». Philippe Marini prétend que cette taxe rapporterait à l’État de 400 à 500 millions d'euros.
Dans une première proposition, le sénateur Philippe Marini avait déjà tenté d’ajouter à la redevance TV, les supports d’information numériques suivants : ordinateurs et autres tablettes tactiles.
Revenant à la charge, il propose aujourd'hui de taxer les activités on-line. Au niveau publicitaire, il est question d’appliquer une nouvelle redevance appelée communément « taxe Google ». Les annonceurs français paieraient une redevance de l’ordre de 1 % sur le total de leurs investissements publicitaires on-line. Une taxe qui ne serait supportée que par les acheteurs ! L’intention première des sénateurs viserait la récupération d’une fraction des revenus publicitaires qui profitent à des entreprises hors France en survolant de loin les caisses du fisc français.
Suivant un deuxième projet d’amendement applicable éventuellement à partir du 1er janvier 2011, une taxe sera appliquée sur les achats de services de commerce électronique en fonction de l’assiette des dépenses engagées pour l'acquisition de fournitures, de biens ou services effectués par le biais d’un support électronique.
À hauteur de 0,5 %, cette taxe concernerait les entreprises dont le chiffre d’affaires serait supérieur à 460 000 € par an. L’argument principal du sénateur Philippe Marini qui défend son amendement prétend que cette taxe réduirait les niches fiscales et lutterait contre la fraude. Elle adapterait aussi les assiettes fiscales aux évolutions technologiques. Le sénateur explique aussi que les transactions en ligne sont une assiette fiscale "moderne" par rapport à l'assiette vieillissante de la plupart des impôts ». Philippe Marini prétend que cette taxe rapporterait à l’État de 400 à 500 millions d'euros.
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jeudi 22 juillet 2010
[Cortix actu] : Le grand « rush » du 1er jour des soldes et son impact sur le e-commerce
À l’ouverture des soldes de cet été 2010, les sites marchands ont été particulièrement assaillis. Ce fameux mercredi 30 juin a été une journée faste pour le e-commerce. Boulot oblige, c’est à l’heure du déjeuner que le pic de connexion a été atteint. Cortix lève le voile sur certains points de vue de cette journée de grand « rush ».
L’analyse effectuée par « LeGuide.com » quant à l’impressionnant impact du démarrage des soldes, sur les visites sur son site cette année, par rapport aux autres années, est justifié par la crise.
Les soldes étaient particulièrement attendus cette année et c’est à partir de 7h00 du matin que « LeGuide.com » a constaté une évolution du trafic avec +83% par rapport à la veille et un pic de +92% dès 8h00 du matin, heure d’ouverture officielle des soldes 2010.
LeGuide.com compte +50% de visiteurs par rapport au premier jour des soldes d’été 2009 ! Pour cette première journée des soldes, 56000 produits soldés ont été en ligne, contre 35000 en 2009, soit une augmentation de +60%.
D’autre part, Cortix vous fait remarquer que le site Twenga a bénéficié d’une forte progression de son trafic au cours de cette première journée, avec deux pics de visites :
•avant déjeuner (+56% entre 11 heures et 12 heures)
•et +86 % après le moment du déjeuner sur la tranche horaire de 14 /15 heures.
En comptant avec les aléas du marché, cette première journée a fait beaucoup d’heureux au sein de l’univers de l’e-commerce. En effet, même si tout ce beau monde n’est pas logé à la même enseigne, certains sites ont été particulièrement satisfaits des résultats de ce début de soldes
L’analyse effectuée par « LeGuide.com » quant à l’impressionnant impact du démarrage des soldes, sur les visites sur son site cette année, par rapport aux autres années, est justifié par la crise.
Les soldes étaient particulièrement attendus cette année et c’est à partir de 7h00 du matin que « LeGuide.com » a constaté une évolution du trafic avec +83% par rapport à la veille et un pic de +92% dès 8h00 du matin, heure d’ouverture officielle des soldes 2010.
LeGuide.com compte +50% de visiteurs par rapport au premier jour des soldes d’été 2009 ! Pour cette première journée des soldes, 56000 produits soldés ont été en ligne, contre 35000 en 2009, soit une augmentation de +60%.
D’autre part, Cortix vous fait remarquer que le site Twenga a bénéficié d’une forte progression de son trafic au cours de cette première journée, avec deux pics de visites :
•avant déjeuner (+56% entre 11 heures et 12 heures)
•et +86 % après le moment du déjeuner sur la tranche horaire de 14 /15 heures.
En comptant avec les aléas du marché, cette première journée a fait beaucoup d’heureux au sein de l’univers de l’e-commerce. En effet, même si tout ce beau monde n’est pas logé à la même enseigne, certains sites ont été particulièrement satisfaits des résultats de ce début de soldes
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mardi 13 juillet 2010
[Cortix actu) : l’e-commerce évolue en France et la réalité de demain sera conjuguée au virtuel d’aujourd’hui
Suivant les données dévoilées dans un article de Célia Pénavaire au journal économique « Les Échos », toutes les deux heures, deux sites marchands se créent en France. Plus de 65.000 sites marchands sont déjà répertoriés ! Les 25 millions de cyberacheteurs français ont généré, en 2009, 25 milliards d'euros de chiffre d'affaires. Cortix développe pour vous une synthèse de ce sujet ainsi que la tendance actuelle.
Afin d’illustrer la tendance du e-commerce, l’article cite la déclaration de Marc Lolivier, délégué général de la FEVAD (Fédération du e-commerce et de la vente à distance) : « Nous assistons de nos jours, à une consolidation autour des grands de chaque secteur, mais, dans le même temps, les sites positionnés sur des marchés de niche se multiplient. L'Internet reste le canal de distribution le plus accessible dès lors que l'on a la bonne idée. »
La facilité d'accès, le travail à distance, les coûts limités, etc. existent bien, mais entreprendre la création d’un site n'exclut pas la réflexion qui s'impose, voire une bonne étude de marché et budget de communication. Sur l'Internet, la concurrence n'est qu'à un clic d’où la nécessité d’une vigilance accrue. Il faut prévoir un budget pour les newsletters, la pub et les partenariats.
Selon Marc Lolivier : « Beaucoup d'enseignes l'ont compris et développent des sites marchands qui viennent prolonger leur offre magasin… les consommateurs sont en attente d'une relation multicanal. Il faut cesser d'opposer des mondes qui se complètent plus qu'ils ne se cannibalisent ».
Cortix vous fait noter qu'un marchand traditionnel, peut suivant certaines statistiques, se tourner vers l’e-commerce et l’utiliser comme une opportunité supplémentaire de vente. 25 % de ces e-commerçants de proximité qui possèdent une boutique pignon sur rue annoncent des augmentations de leurs chiffres d’affaires générés par leurs nouveaux sites Web.
En rappelant que la majorité des internautes consultent maintenant des sites de conseils et de comparaisons de prix en s’échangeant entre eux les bons plans, Frédéric Cavazza, consultant indépendant prévient aussi que : « Les grandes évolutions concerneront surtout les catalogues. On n'aura jamais assez de services, assez de description, assez de photos, assez de vidéos. La réalité qui évoluera en son temps (comme essayer une paire de lunettes en 3D via sa webcam par exemple) sera l'outil de demain. Et nul ne peut ignorer le m-commerce (achats via un terminal mobile), dont la croissance est exponentielle depuis l'avènement des « smartphones».
Afin d’illustrer la tendance du e-commerce, l’article cite la déclaration de Marc Lolivier, délégué général de la FEVAD (Fédération du e-commerce et de la vente à distance) : « Nous assistons de nos jours, à une consolidation autour des grands de chaque secteur, mais, dans le même temps, les sites positionnés sur des marchés de niche se multiplient. L'Internet reste le canal de distribution le plus accessible dès lors que l'on a la bonne idée. »
La facilité d'accès, le travail à distance, les coûts limités, etc. existent bien, mais entreprendre la création d’un site n'exclut pas la réflexion qui s'impose, voire une bonne étude de marché et budget de communication. Sur l'Internet, la concurrence n'est qu'à un clic d’où la nécessité d’une vigilance accrue. Il faut prévoir un budget pour les newsletters, la pub et les partenariats.
Selon Marc Lolivier : « Beaucoup d'enseignes l'ont compris et développent des sites marchands qui viennent prolonger leur offre magasin… les consommateurs sont en attente d'une relation multicanal. Il faut cesser d'opposer des mondes qui se complètent plus qu'ils ne se cannibalisent ».
Cortix vous fait noter qu'un marchand traditionnel, peut suivant certaines statistiques, se tourner vers l’e-commerce et l’utiliser comme une opportunité supplémentaire de vente. 25 % de ces e-commerçants de proximité qui possèdent une boutique pignon sur rue annoncent des augmentations de leurs chiffres d’affaires générés par leurs nouveaux sites Web.
En rappelant que la majorité des internautes consultent maintenant des sites de conseils et de comparaisons de prix en s’échangeant entre eux les bons plans, Frédéric Cavazza, consultant indépendant prévient aussi que : « Les grandes évolutions concerneront surtout les catalogues. On n'aura jamais assez de services, assez de description, assez de photos, assez de vidéos. La réalité qui évoluera en son temps (comme essayer une paire de lunettes en 3D via sa webcam par exemple) sera l'outil de demain. Et nul ne peut ignorer le m-commerce (achats via un terminal mobile), dont la croissance est exponentielle depuis l'avènement des « smartphones».
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[Cortix actu] Paris cible une 7ème édition du Salon de l’e-commerce plus européenne
Cortix a relevé pour vous que pour sa 7ème édition, le salon E-Commerce Paris se fixe l’objectif de devenir un rendez-vous incontournable pour les e-marchands européens. Initialement au périmètre français, depuis deux ans, ce grand salon du e-commerce cible l’Europe, mais pour le moment, la majorité des visiteurs viennent principalement de l’hexagone (en 2009, les Français étaient dans une proportion de 90% sur les 25000 visiteurs). L’enjeu de cette édition 2010 est d’inaugurer une manifestation la plus européenne que possible et faire encore mieux au cours des prochaines éditions.
Le 7ème Salon du e-commerce aura lieu cette année 2010, les 21, 22 et 23 septembre prochains à la Porte de Versailles. Cette manifestation est organisée régulièrement depuis 2002 par E-Business Évents. E-Business Évents qui est une filiale du groupe Comexposium, a reçu en 2009, plus 40.000 visiteurs via les différents événements qu’elle a organisés et plus de 1.500 prestataires lui font confiance. Ce sont plus de 550 acteurs européens de la vente en ligne et 30 000 visiteurs qui sont attendus en septembre 2010 au Salon du e-commerce.
Boosté par le succès de l’édition 2009, Alain LAIDET, Directeur des Opérations de E-Business Évents et commissaire général du salon a déclaré ce qui suit : « en quelques années de croissance continue, E-Commerce Paris s'est hissé à la première place des salons européens sur le commerce électronique. C'est une satisfaction, car dans le même temps, l'Europe est devenue la première zone E-Commerce au monde, devant les États-Unis ou l'Asie ».
Le « E-Commerce de Paris 2010 » proposera de nombreux temps forts européens avec ses partenaires institutionnels (FEVAD, SNCD, ADETEM, GS1, Acsel, etc.), des tables rondes sur l’« e-export », mais aussi la 3e édition des E-Commerce Awards.
Cortix vous rappelle que près de 500 conférenciers se succèderont en tribune dans les 13 salles de conférences, sur toute la grille de lecture du e-commerce : les technologies e-commerce pour la mise en œuvre de sites de e-commerce, le digital marketing pour leur promotion et la logistique pour la livraison des produits.
Le 7ème Salon du e-commerce aura lieu cette année 2010, les 21, 22 et 23 septembre prochains à la Porte de Versailles. Cette manifestation est organisée régulièrement depuis 2002 par E-Business Évents. E-Business Évents qui est une filiale du groupe Comexposium, a reçu en 2009, plus 40.000 visiteurs via les différents événements qu’elle a organisés et plus de 1.500 prestataires lui font confiance. Ce sont plus de 550 acteurs européens de la vente en ligne et 30 000 visiteurs qui sont attendus en septembre 2010 au Salon du e-commerce.
Boosté par le succès de l’édition 2009, Alain LAIDET, Directeur des Opérations de E-Business Évents et commissaire général du salon a déclaré ce qui suit : « en quelques années de croissance continue, E-Commerce Paris s'est hissé à la première place des salons européens sur le commerce électronique. C'est une satisfaction, car dans le même temps, l'Europe est devenue la première zone E-Commerce au monde, devant les États-Unis ou l'Asie ».
Le « E-Commerce de Paris 2010 » proposera de nombreux temps forts européens avec ses partenaires institutionnels (FEVAD, SNCD, ADETEM, GS1, Acsel, etc.), des tables rondes sur l’« e-export », mais aussi la 3e édition des E-Commerce Awards.
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vendredi 2 juillet 2010
[Cortix news] : Comment l’outil « web analytics » aide à mesurer et à améliorer les performances de votre site e-marchand !
A travers cette note, Cortix envisage de détailler les principaux avantages à acquérir, lorsqu’on dote un site d’un outil « Web analytics ». Tout site marchand qui se respecte se trouve dans l’obligation de bénéficier de l’apport d’un outil « web analytics » en vue d’obtenir une veille stratégique de ses différentes évolutions, voire sa fréquentation et l’analyse de son activité.
De plus en plus, les marqueteurs s’accordent à dire qu’il devient primordial de garder un œil sur les habitudes des internautes qui surfent sur votre site. Il est utile de noter d’abord que l’outil « web analytics » aide à contrôler l’activité de votre site en définissant le nombre de visites, les pages vues ainsi que le temps passé sur le site.
Il est important aussi d’avoir la possibilité de connaître la provenance de ces internautes. Ils peuvent avoir été dirigé à partir de certains réseaux sociaux tels que facebook, à partir de certains moteurs de recherche ou en navigation directe. L’outil web analytics vous permet de connaître ces itinéraires.
Ce procédé vous permet d’améliorer le contenu de votre site et de définir les mots clés les plus influents. En effet, ce « process » vous donne la possibilité d’analyser votre référencement en trouvant les mots clés utilisés dans les moteurs de recherche qui ont amené ces internautes à votre site.
Cortix vous fait remarquer aussi que l’analyse de la recherche interne à votre site vous donne un excellent éclairage sur les requêtes effectuées par l’internaute sur votre site et de connaître avec précision, ses réactions en commandes ou en abandons de paniers.
De plus en plus, les marqueteurs s’accordent à dire qu’il devient primordial de garder un œil sur les habitudes des internautes qui surfent sur votre site. Il est utile de noter d’abord que l’outil « web analytics » aide à contrôler l’activité de votre site en définissant le nombre de visites, les pages vues ainsi que le temps passé sur le site.
Il est important aussi d’avoir la possibilité de connaître la provenance de ces internautes. Ils peuvent avoir été dirigé à partir de certains réseaux sociaux tels que facebook, à partir de certains moteurs de recherche ou en navigation directe. L’outil web analytics vous permet de connaître ces itinéraires.
Ce procédé vous permet d’améliorer le contenu de votre site et de définir les mots clés les plus influents. En effet, ce « process » vous donne la possibilité d’analyser votre référencement en trouvant les mots clés utilisés dans les moteurs de recherche qui ont amené ces internautes à votre site.
Cortix vous fait remarquer aussi que l’analyse de la recherche interne à votre site vous donne un excellent éclairage sur les requêtes effectuées par l’internaute sur votre site et de connaître avec précision, ses réactions en commandes ou en abandons de paniers.
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lundi 31 mai 2010
[Cortix conseils] : Les particularités du comportement du cyberacheteur français, cet internaute qu’il faut privilégier !
Cortix reprend pour vous quelques faits marquants relevés au niveau de l’étude de Maximiles publiée le 6 mai dernier. Cette étude est axée sur les particularités du comportement d’achat du cyberacheteur. Comme cela a été déjà noté dans notre article correspondant au lien suivant : http://www.ecommerce-cortix.fr/index.php?2010/04/29/144--cortix-tendance-le-profil-du-cyberconsommateur-francais-passe-au-crible, chaque internaute est un nouveau consommateur potentiel qui demeure unique dans son comportement d’achat. Il est donc à privilégier.
Parmi les premières caractéristiques du cyberacheteur français, l’étude démontre qu’il entreprend presque toujours une enquête préalable à tout éventuel achat. 73 % d’entre eux préfèrent effectuer de longues recherches sur les caractéristiques et les prix du produit avant d’aller sur le site marchand adéquat pour faire l’achat. Les forums et les sites de comparateurs de produits sont leurs terrains de prédilection.
Le prix demeure le facteur déterminant dans l’acte d’achat.
De 25 % à 33 %, des cyberacheteurs européens penchent automatiquement aux prix les plus bas. Quant aux Français, Cortix vous fait remarquer que la gratuité des frais de port et les promotions sont des éléments prépondérants au niveau de leurs décisions d’achat. Ils sélectionnent les produits en promotion et vont ensuite sur les sites de comparaison des prix vérifier la solvabilité de la promotion. C’est leur façon d’acheter un produit à prix réduit afin de réaliser des économies.
Parmi les premières caractéristiques du cyberacheteur français, l’étude démontre qu’il entreprend presque toujours une enquête préalable à tout éventuel achat. 73 % d’entre eux préfèrent effectuer de longues recherches sur les caractéristiques et les prix du produit avant d’aller sur le site marchand adéquat pour faire l’achat. Les forums et les sites de comparateurs de produits sont leurs terrains de prédilection.
Le prix demeure le facteur déterminant dans l’acte d’achat.
De 25 % à 33 %, des cyberacheteurs européens penchent automatiquement aux prix les plus bas. Quant aux Français, Cortix vous fait remarquer que la gratuité des frais de port et les promotions sont des éléments prépondérants au niveau de leurs décisions d’achat. Ils sélectionnent les produits en promotion et vont ensuite sur les sites de comparaison des prix vérifier la solvabilité de la promotion. C’est leur façon d’acheter un produit à prix réduit afin de réaliser des économies.
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mardi 25 mai 2010
[Cortix actu] : e-commerce : 30% de croissance des ventes en ligne au 1er trimestre 2010.
Cortix vous fait le point sur le premier trimestre 2010 qui a vu l’e-commerce enregistrer une augmentation de 30%. En une seule année, 16000 nouveaux sites marchands ont vu le jour et rien que 3,4 millions de cyberacheteurs ont assailli le réseau.
Selon la FEVAD, au cumul, le premier trimestre 2010 a enregistré un chiffre d’affaires de 7,2 milliards d'euros, soit une hausse significative de 30% par rapport à la même période de l’année dernière. Ce chiffre supplante toutes les prévisions de la FEVAD qui mise dorénavant, pour l’ensemble de l’année 2010, sur un chiffre d’affaires de 31 milliards d’euros.
À ce jour, les 16000 nouveaux sites créés ont porté le nombre total des sites français à 66 800. D’après Médiamétrie, les cyberacheteurs qui sont de plus en plus nombreux, sont aujourd’hui à près de 3 millions, soit une augmentation de 15% par rapport à l’année dernière. Et se sont les plus de 65 ans qui tiennent le haut du pavé au niveau de la progression avec plus 41 % en un an, soit près d'un demi-million de cyberacheteurs de plus dans cette catégorie d'âge et +17 % d’augmentation pour les CSP+ (Catégories Socio-professionnelles supérieures). Cortix vous rappelle que les CSP+ regroupent les chefs d’entreprises, les artisans et commerçants, les cadres, les professions intellectuelles supérieures et les professions intermédiaires
Les sites des grandes enseignes profitent de ce regain de croissance avec des ventes en ligne en hausse de 15 % (au premier trimestre 2009, la hausse relevée était de l’ordre de 10%).
Selon la FEVAD, au cumul, le premier trimestre 2010 a enregistré un chiffre d’affaires de 7,2 milliards d'euros, soit une hausse significative de 30% par rapport à la même période de l’année dernière. Ce chiffre supplante toutes les prévisions de la FEVAD qui mise dorénavant, pour l’ensemble de l’année 2010, sur un chiffre d’affaires de 31 milliards d’euros.
À ce jour, les 16000 nouveaux sites créés ont porté le nombre total des sites français à 66 800. D’après Médiamétrie, les cyberacheteurs qui sont de plus en plus nombreux, sont aujourd’hui à près de 3 millions, soit une augmentation de 15% par rapport à l’année dernière. Et se sont les plus de 65 ans qui tiennent le haut du pavé au niveau de la progression avec plus 41 % en un an, soit près d'un demi-million de cyberacheteurs de plus dans cette catégorie d'âge et +17 % d’augmentation pour les CSP+ (Catégories Socio-professionnelles supérieures). Cortix vous rappelle que les CSP+ regroupent les chefs d’entreprises, les artisans et commerçants, les cadres, les professions intellectuelles supérieures et les professions intermédiaires
Les sites des grandes enseignes profitent de ce regain de croissance avec des ventes en ligne en hausse de 15 % (au premier trimestre 2009, la hausse relevée était de l’ordre de 10%).
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mardi 20 avril 2010
[Cortix actu] : Les identités numériques des Français et les fortes disparités du bilan de l’e-commerce européen
Cortix vous fait ressortir, du panorama dressé par l’ACSEL, que l’e-commerce européen présente de fortes disparités. En effet, le 25 janvier 2010, dans l'amphithéâtre de l'Atelier BNP Paribas, à Paris, Pierre Kosciusko-Morizet, président en exercice d’ ACSEL, a présenté les ambitions de son association pour 2010. Auparavant, les représentants des instances de l'e-commerce allemand, italien, espagnol, et britannique avaient parlé de la complexité et de la diversité des stades de maturité de l’économie numérique dans ces différents pays européens.
Il apparaît d’après certains rapports et certains articles de Cortix, que l’e-commerce en France est sur les bons rails. l’ACSEL a relevé une croissance de 31% en France pour l’année 2009. En effet, l’année s’est clôturée sur un chiffre d’affaires de 26,6 milliards d’euros, soit une moyenne de 12 transactions (sur le net) par an et par entreprise. Cortix a noté pour vous (dans l’ordre décroissant) que parmi les articles les plus achetés et qui tiennent le haut du pavé, ce sont les vêtements et accessoires qui viennent entête, ensuite ce sont les produits pour la maison, le jardin, le bricolage et l’informatique.
Royaume-Uni et Allemagne, fers de lance de l’e-commerce européen
En Europe, le Royaume-Uni et l’Allemagne demeurent les fers de lance de l’e-commerce. Avec un nombre d’acheteurs britanniques de plus de 24 millions et un panier annuel moyen de 170 euros, le marché du Royaume-Uni a atteint les 58 milliards d’euros en chiffre d’affaires. Les 33 millions d’acheteurs en ligne allemands on généré un chiffre d’affaires de 22 milliards en 2009.
En revanche, parmi les pays européens dont l’e-commerce connaît une progression relativement plus lente nous citerons l’Espagne qui se retrouve avec un panier moyen de 40 euros et un chiffre d’affaires de 5,9 milliards d’euros. Les Espagnols ne sont que 8,9 millions d’acheteurs en ligne. En Italie l’e-commerce ne concerne majoritairement que la vente de services.
"Les Français et leurs identités numériques"
En vue d’encourager la place du numérique dans l’économie, en 2010, Cortix vous informe que l’ACSEL a prévu, notamment le lancement des « ACSEL du numérique ». En effet, au mois de mars prochain l’ACSEL va éditer un ouvrage qui servira de baromètre. Elle est en train de réaliser cet ouvrage avec la Caisse des dépôts sur le thème "les Français et leurs identités numériques". Elle prévoit aussi la publication d’ouvrages sur le marché européen du e-commerce ainsi que les nouveaux usages de la mobilité.
Il apparaît d’après certains rapports et certains articles de Cortix, que l’e-commerce en France est sur les bons rails. l’ACSEL a relevé une croissance de 31% en France pour l’année 2009. En effet, l’année s’est clôturée sur un chiffre d’affaires de 26,6 milliards d’euros, soit une moyenne de 12 transactions (sur le net) par an et par entreprise. Cortix a noté pour vous (dans l’ordre décroissant) que parmi les articles les plus achetés et qui tiennent le haut du pavé, ce sont les vêtements et accessoires qui viennent entête, ensuite ce sont les produits pour la maison, le jardin, le bricolage et l’informatique.
Royaume-Uni et Allemagne, fers de lance de l’e-commerce européen
En Europe, le Royaume-Uni et l’Allemagne demeurent les fers de lance de l’e-commerce. Avec un nombre d’acheteurs britanniques de plus de 24 millions et un panier annuel moyen de 170 euros, le marché du Royaume-Uni a atteint les 58 milliards d’euros en chiffre d’affaires. Les 33 millions d’acheteurs en ligne allemands on généré un chiffre d’affaires de 22 milliards en 2009.
En revanche, parmi les pays européens dont l’e-commerce connaît une progression relativement plus lente nous citerons l’Espagne qui se retrouve avec un panier moyen de 40 euros et un chiffre d’affaires de 5,9 milliards d’euros. Les Espagnols ne sont que 8,9 millions d’acheteurs en ligne. En Italie l’e-commerce ne concerne majoritairement que la vente de services.
"Les Français et leurs identités numériques"
En vue d’encourager la place du numérique dans l’économie, en 2010, Cortix vous informe que l’ACSEL a prévu, notamment le lancement des « ACSEL du numérique ». En effet, au mois de mars prochain l’ACSEL va éditer un ouvrage qui servira de baromètre. Elle est en train de réaliser cet ouvrage avec la Caisse des dépôts sur le thème "les Français et leurs identités numériques". Elle prévoit aussi la publication d’ouvrages sur le marché européen du e-commerce ainsi que les nouveaux usages de la mobilité.
lundi 22 février 2010
[Cortix News] : Le palmarès des « awards » du Meetic » récompensant les innovations de l’e-marketing
Dans une précédente édition, nous vous annoncions le Salon de l’e-marketing, ce rendez-vous des passionnés de toutes les activités du web, de la publicité sur Internet au webmarketing en passant par les réseaux sociaux et l’e-commerce. Cortix vous fait découvrir cette fois le palmarès de la cérémonie des « Awards » du Meetic.
Comme annoncé, Marc Simoincini a récompensé les grands opérateurs qui se sont distingués sur le web :
o La catégorie « Vidéo » a récompensé » l’Agence Rapp » pour Amnesty International et pour Chewing-Gum & Helium Experiment viral test.
o Dans la catégorie « Application Mobile », le prix a été décerné à GS1 pour Code On Line et Franprix. Cette application mobile cible l’utilisation des codes à barres appliqués sur les étiquettes des bouteilles de vin afin de donner plus d’informations aux clients et consommateurs.
o La « Stratégie d’Acquisition Multicanal » a été dédiée à MLDC pour le service "Ma Liste de Courses " qui consiste à un système, d'obtention de bons de réduction, déterminé par la liste initiale de courses et non pas, à partir du panier d'achats finaux.
o Le prix de la « Stratégie de Fidélisation » a été octroyé à Bénéteau pour Quartier d'Été & Between US. Quartier d'Été a développé pour Bénéteau un réseau social payant qui donne accès à un échange de bateaux entre membres.
o La Catégorie « Innovation Technologique » a récompensé la société Total Immersion pour l’album "Ballon d’Or" de Sinik.
o La catégorie « Création e-marketing » a récompensé Euro RSGG pour le teasing de prélancement du film Evian "Rollerbabies". Cortix vous fait noter que ce film a été visionné plus de 10 millions de fois sur toutes les plates-formes vidéo.
o « L’E-Marketing d'Or » a été décerné à IRM Agency pour l’exemplarité de sa démarche communautaire conçue pour Gallimard.
Comme annoncé, Marc Simoincini a récompensé les grands opérateurs qui se sont distingués sur le web :
o La catégorie « Vidéo » a récompensé » l’Agence Rapp » pour Amnesty International et pour Chewing-Gum & Helium Experiment viral test.
o Dans la catégorie « Application Mobile », le prix a été décerné à GS1 pour Code On Line et Franprix. Cette application mobile cible l’utilisation des codes à barres appliqués sur les étiquettes des bouteilles de vin afin de donner plus d’informations aux clients et consommateurs.
o La « Stratégie d’Acquisition Multicanal » a été dédiée à MLDC pour le service "Ma Liste de Courses " qui consiste à un système, d'obtention de bons de réduction, déterminé par la liste initiale de courses et non pas, à partir du panier d'achats finaux.
o Le prix de la « Stratégie de Fidélisation » a été octroyé à Bénéteau pour Quartier d'Été & Between US. Quartier d'Été a développé pour Bénéteau un réseau social payant qui donne accès à un échange de bateaux entre membres.
o La Catégorie « Innovation Technologique » a récompensé la société Total Immersion pour l’album "Ballon d’Or" de Sinik.
o La catégorie « Création e-marketing » a récompensé Euro RSGG pour le teasing de prélancement du film Evian "Rollerbabies". Cortix vous fait noter que ce film a été visionné plus de 10 millions de fois sur toutes les plates-formes vidéo.
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mercredi 17 février 2010
[Cortix News] : Le Salon e-marketing de Paris, ouvre ses portes aux perspectives des e-marchands
Environs 8 000 professionnels spécialisés au niveau de l’e-marketing étaient attendus au Palais des Congrès de Paris à l’occasion de la 4e édition du forum e-Marketing Paris. Cortix vous confirme que cette manifestation est devenue un évènement phare pour les e-marchands.
Le e-marketing, devenu point de rencontre incontournable des passionnés du webmarketing, des réseaux sociaux, du e-commerce et de la publicité sur Internet ainsi que de toutes les activités annexes.
Plus d’une centaine de conférences avaient été programmées et réparties sur une dizaine de salles. Plusieurs thèmes concernant le mix e-marketing, les performances et la disponibilité des sites web étaient au programme. Plusieurs exposants dont certains spécialistes de la formation seront animés par les plus grands spécialistes en la matière.
Le programme stipulait que Marc Simoncini, patron de Meetic devait présenter pour la deuxième année consécutive « les E-Marketing awards ». Ce challenge est ouvert à tous les passionnés de l’e-marketing, qu’ils soient prestataires ou fournisseurs de services. Cortix vous rappelle que ces awards récompensent les innovations de l’e-marketing qui se sont distinguées dans les 8 catégories suivantes : bannières pub, vidéos, applications pour mobile, meilleures stratégies communautaires, meilleure stratégie d’acquisition multicanal, meilleure stratégie de fidélisation, meilleure innovation techno en e-marketing et meilleure création e-marketing (Prix à décerner par le public).
Le e-marketing, devenu point de rencontre incontournable des passionnés du webmarketing, des réseaux sociaux, du e-commerce et de la publicité sur Internet ainsi que de toutes les activités annexes.
Plus d’une centaine de conférences avaient été programmées et réparties sur une dizaine de salles. Plusieurs thèmes concernant le mix e-marketing, les performances et la disponibilité des sites web étaient au programme. Plusieurs exposants dont certains spécialistes de la formation seront animés par les plus grands spécialistes en la matière.
Le programme stipulait que Marc Simoncini, patron de Meetic devait présenter pour la deuxième année consécutive « les E-Marketing awards ». Ce challenge est ouvert à tous les passionnés de l’e-marketing, qu’ils soient prestataires ou fournisseurs de services. Cortix vous rappelle que ces awards récompensent les innovations de l’e-marketing qui se sont distinguées dans les 8 catégories suivantes : bannières pub, vidéos, applications pour mobile, meilleures stratégies communautaires, meilleure stratégie d’acquisition multicanal, meilleure stratégie de fidélisation, meilleure innovation techno en e-marketing et meilleure création e-marketing (Prix à décerner par le public).
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mardi 26 janvier 2010
[Cortix conseils] : Comment optimiser votre compte client sur le Net en évitant d’agacer l’internaute.
Comment éviter de faire des amalgames entre le service client et le marketing et être vraiment au service du client sur les sites e-marchands ? En se basant sur une étude réalisée par Laure Sauvage, ergonome chez Benchmark Group, Cortix vous donne quelques conseils d’ordre pratique au niveau du compte client. Qu'est-ce qui doit figurer dans ce compte ? Quelles sont les meilleures pratiques à utiliser par les e-commerçants pour pousser l’internaute à remplir les différentes cases sans l’agacer?
Afin d’optimiser votre site e-commerce et fidéliser le client en le mettant en confiance, il faut tout d’abord, ne pas se tromper d’objectif en imaginant les besoins du compte client (en informations) en ayant en tête ceux des futures actions marketing.
Il ne faut demander à l’internaute que des informations en rapport avec le service client. En fait, dans le cas d’un simple achat, le client peut ne pas comprendre qu’on puisse lui demander plus que l’adresse de livraison. Il faut que le client voit immédiatement ce que va lui apporter l’information qu’il donne.
Au moment de réaliser un achat sur la plupart des sites marchands, on demande à l’internaute d’ouvrir un compte afin de lui permettre de suivre sa commande. Dans tous les cas, il faut bien lui expliquer pourquoi on lui demande d’ouvrir un compte. A titre d’exemple, on ne doit pas demander l'adresse postale d'un client qui achète un « document par « téléchargement ». Par contre, certains sites proposent d'assurer le suivi de la commande par SMS et si le client est intéressé, il est alors logique de lui demander son numéro de portable.
Les questions, en rapport avec le marketing, qui concernent par exemple le niveau de revenu ou encore la composition de la famille n'ont plus leurs raisons d’être, d'autant plus qu'elles sont le plus souvent mal perçues par les clients qui les jugent aussi inutiles qu'indiscrètes. Il en est de même pour les demandes du numéro de téléphone sans que cela ne soit justifié par le service client lors d’un achat.
Du reste, il serait particulièrement judicieux de proposer cette ouverture de compte au moment du processus d’achat parce qu’il ne comprendrait pas le besoin d’ouvrir un compte pour, tout juste, surfer sur le site.
Les recommandations de Cortix se basent sur la sobriété du compte client. Il doit être professionnel et attrayant par la proposition de plusieurs services notamment par des offres de points de fidélité, de bons de réduction, des ponts de parrainage, des abonnements aux newsletters et même des téléchargements de logiciels et utilitaires.
Afin d’optimiser votre site e-commerce et fidéliser le client en le mettant en confiance, il faut tout d’abord, ne pas se tromper d’objectif en imaginant les besoins du compte client (en informations) en ayant en tête ceux des futures actions marketing.
Il ne faut demander à l’internaute que des informations en rapport avec le service client. En fait, dans le cas d’un simple achat, le client peut ne pas comprendre qu’on puisse lui demander plus que l’adresse de livraison. Il faut que le client voit immédiatement ce que va lui apporter l’information qu’il donne.
Au moment de réaliser un achat sur la plupart des sites marchands, on demande à l’internaute d’ouvrir un compte afin de lui permettre de suivre sa commande. Dans tous les cas, il faut bien lui expliquer pourquoi on lui demande d’ouvrir un compte. A titre d’exemple, on ne doit pas demander l'adresse postale d'un client qui achète un « document par « téléchargement ». Par contre, certains sites proposent d'assurer le suivi de la commande par SMS et si le client est intéressé, il est alors logique de lui demander son numéro de portable.
Les questions, en rapport avec le marketing, qui concernent par exemple le niveau de revenu ou encore la composition de la famille n'ont plus leurs raisons d’être, d'autant plus qu'elles sont le plus souvent mal perçues par les clients qui les jugent aussi inutiles qu'indiscrètes. Il en est de même pour les demandes du numéro de téléphone sans que cela ne soit justifié par le service client lors d’un achat.
Du reste, il serait particulièrement judicieux de proposer cette ouverture de compte au moment du processus d’achat parce qu’il ne comprendrait pas le besoin d’ouvrir un compte pour, tout juste, surfer sur le site.
Les recommandations de Cortix se basent sur la sobriété du compte client. Il doit être professionnel et attrayant par la proposition de plusieurs services notamment par des offres de points de fidélité, de bons de réduction, des ponts de parrainage, des abonnements aux newsletters et même des téléchargements de logiciels et utilitaires.
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jeudi 21 janvier 2010
[Cortix news] : La florescence des transactions en ligne de 2009
Se basant sur une étude réalisée par le Journal du Net, Cortix vous résume le bilan et les tendances du e-commerce en 2009 au niveau de l’économie française. Sur le blog Cortix e-commerce, nous vous avions déjà mis en relief, en décembre 2009, le boum spectaculaire qui a été réalisé par le e-commerce pendant les fêtes de fin d’année. L’évolution de 32% des achats en ligne réalisée en 2009 laisse présager des perspectives intéressantes pour les e-commerçants.
En atteignant la barre des 200 millions en 2009, le nombre des achats réalisés par carte bancaire a fait un bond de 32,3 % sur un an. En 2008, le nombre des transactions sur le Net était de l’ordre de 150 millions.
Il est à noter que le nombre sans cesse croissant des transactions en ligne a légèrement masqué les effets de la crise économique qui ont marqué de leurs empreintes la valeur du panier moyen des cyberacheteurs. En effet, suivant les statistiques, le montant moyen du panier a perdu 1,37 euro au cours de l’année 2009. Cortix vous fait remarquer aussi que le e-commerce continue à figurer parmi les secteurs les plus florissants en France, malgré un léger ralentissement au niveau du rythme de progression.
Grâce notamment à une excellente fin d’année 2009, le montant total des transactions (de paiement en ligne) effectuées par la Caisse d'Épargne, Athos Wordline, Paybox, et Monext a atteint les 18 milliards d’euros,
En atteignant la barre des 200 millions en 2009, le nombre des achats réalisés par carte bancaire a fait un bond de 32,3 % sur un an. En 2008, le nombre des transactions sur le Net était de l’ordre de 150 millions.
Il est à noter que le nombre sans cesse croissant des transactions en ligne a légèrement masqué les effets de la crise économique qui ont marqué de leurs empreintes la valeur du panier moyen des cyberacheteurs. En effet, suivant les statistiques, le montant moyen du panier a perdu 1,37 euro au cours de l’année 2009. Cortix vous fait remarquer aussi que le e-commerce continue à figurer parmi les secteurs les plus florissants en France, malgré un léger ralentissement au niveau du rythme de progression.
Grâce notamment à une excellente fin d’année 2009, le montant total des transactions (de paiement en ligne) effectuées par la Caisse d'Épargne, Athos Wordline, Paybox, et Monext a atteint les 18 milliards d’euros,
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mardi 12 janvier 2010
[Cortix actu] Les soldes : 72% de cyberacheteurs français, feront leurs emplettes sur Internet
Se référant à une récente étude de la Fédération du E-commerce et de la Vente à Distance (FEVAD), Cortix vous dévoile ci-après, qu’en moyenne, les internautes français dépensent, sur le net, au cours de la période des soldes d’hiver, autour de 168 euros chacun. En effet, c’est à partir du 6 janvier dernier que l’opportunité traditionnelle des soldes a été lancée avec notamment une proportion, d’environ 72% de cyberacheteurs français, qui ira faire ses emplettes sur Internet.
Les statistiques de la FEVAD montrent que la proportion hommes femmes est de « cinquante cinquante » dans leur intention d’achat en ligne au cours de ces soldes d’hiver. 80% de ces intentionnistes sont des personnes actives et concernent, à plus de 55%, des foyers de plus de trois personnes. La moitié de l’ensemble des intentionnistes concerne la catégorie des cyberacheteurs de moins de 35 ans.
Quant aux produits ciblés par ces achats en ligne, ce sont les vêtements pour femme qui viennent en tête avec 52% des intentions d'achat. Les vêtements pour homme suivent avec 41%. Les accessoires de mode et les chaussures ne sont pas du reste avec 31%. Le matériel électronique destiné au grand public est naturellement bel et bien là avec 33 %, tandis que 27% ciblent l'équipement de la maison.
Malgré un budget moyen individuel prévisionnel qui varie entre 50 et 150 Euros pour la majorité des internautes français (soit 52%), Cortix vous signale que 17% de ces intentionnistes accordent une certaine marge de progression qui dépendra des offres proposées. Il faut relever aussi que 11% d’entre eux prévoient de dépenser, en cette période de solde, entre 150 et 250 euros et que 10% établissent un budget prévisionnel de 250 à 500 euros.
Les statistiques de la FEVAD montrent que la proportion hommes femmes est de « cinquante cinquante » dans leur intention d’achat en ligne au cours de ces soldes d’hiver. 80% de ces intentionnistes sont des personnes actives et concernent, à plus de 55%, des foyers de plus de trois personnes. La moitié de l’ensemble des intentionnistes concerne la catégorie des cyberacheteurs de moins de 35 ans.
Quant aux produits ciblés par ces achats en ligne, ce sont les vêtements pour femme qui viennent en tête avec 52% des intentions d'achat. Les vêtements pour homme suivent avec 41%. Les accessoires de mode et les chaussures ne sont pas du reste avec 31%. Le matériel électronique destiné au grand public est naturellement bel et bien là avec 33 %, tandis que 27% ciblent l'équipement de la maison.
Malgré un budget moyen individuel prévisionnel qui varie entre 50 et 150 Euros pour la majorité des internautes français (soit 52%), Cortix vous signale que 17% de ces intentionnistes accordent une certaine marge de progression qui dépendra des offres proposées. Il faut relever aussi que 11% d’entre eux prévoient de dépenser, en cette période de solde, entre 150 et 250 euros et que 10% établissent un budget prévisionnel de 250 à 500 euros.
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