vendredi 21 octobre 2011

[Cortix e-commerce] : L’audience des femmes et des « fashionistas », une cible particulièrement privilégiée par les sites e-marchands

Se basant sur le fait que l’enseigne « Brandalley » attire plus d'hommes que de femmes alors que l'audience de « But » est féminine à 60,33 %, « Conforama » à 58% et « Ikea » à 57,41%. Cortix vous explique ci-après que le journal-du-Net a analysé, secteur par secteur, la part d'audience ainsi que le rush féminin au niveau des 50 principaux sites e-marchands en France,

Il en ressort de cette analyse que l’audience du site « ShowRoomPrivé » est particulièrement féminine à 65%, alors qu’il bénéficie d’un faible taux de pénétration : 3,25%. Afin de parer à cette défaillance, « ShowRoomPrivé » vient d’ailleurs de s’offrir une nouvelle version plus aérée du site qui est dotée dorénavant, d’une navigation plus intuitive. Il est désormais possible aussi de se connecter à ce site via votre compte Facebook.

« BazarChic.com » est un site de ventes privées spécialisé dans la mode et la déco. Il rassemble aujourd'hui 4 millions de membres et présente plus de 800 grandes marques internationales de luxe. Les rabais appliqués, lors des soldes, vont de -30% à -70%, ce qui peut faire perdre facilement la tête aux plus « fashionistas » (accros à la mode) et bien sûr, aux plus économes !

A audience plutôt masculine, les généralistes « Amazon », FNAC et « CDiscount » sont les sites qui obtiennent les meilleurs taux, au niveau de la clientèle féminine !

En dehors du secteur des ventes privées, les généralistes sont des sites à audience plutôt masculine : « Amazon », site marchand généraliste et spécialisé dans le secteur du high-tech attire 47,6% de ses visiteurs en clientèle féminine. La « Fnac » avec 46,9% et « Cdiscount » avec 46,7% suivent de près. L’audience de « eBay » n’est féminisée qu’à un taux de 24,74%.

Indépendamment du leader « Voyages-Sncf.com » en termes d’audience totale, nous retrouvons les voyagistes en ligne « Accor Hotel » et « Promovacances » qui attirent particulièrement une clientèle féminine.

À titre d’information, les conclusions de cette analyse présentée par le Journal du Net sont basées à partir d’une étude réalisée en juin 2011 par l’Institut américain « Comscoree ».

vendredi 14 octobre 2011

Avec ses 30.000 visiteurs, la 8e édition du Salon du e-commerce européen qui s’est tenue à Paris en septembre 2011, a mis en exergue tous les thèmes phares du e-commerce, en allant des places de marché au « Facebook commerce » en passant par les livraisons transfrontalières.

Cortix vous parle ci-après des véritables opportunités d’affaires pour les acteurs du secteur français en mettant en relief le véritable potentiel des éventuels échanges avec les pays scandinaves. Cet article vous présente aussi certains chiffres relatifs à la croissance en Norvège, en Suède et au Danemark.

80% de l’activité commerciale des pays nordiques est consacrée à la vente à distance.

Selon l’étude, réalisée par « Posten Norden AB », il a été démontré qu’aux pays nordiques, une grande partie des consommateurs ont recours régulièrement (et pratiquement tous les mois) aux achats via internet. Au Danemark, ils représentent 32%, en Suède (28%) et en Norvège (25%) : soit, 80% de l’activité commerciale de ces pays nordiques est consacrée à la vente à distance.

E-commerce : boosté par un pouvoir d’achat élevé, le marché des pays nordiques est estimé à 23 milliards d’euros

La Chambre de commerce franco-norvégienne avait estimé, l’année dernière, que le marché des pays nordiques représentait 23 milliards d’euros dans la simple vente en ligne. Elle avait expliqué ce chiffre en basant sur un pouvoir d’achat élevé. En effet, le marché de la Norvège représente à lui seul 6 milliards d’euros. En six mois, un Norvégien achète en ligne pour environ 987 euros en moyenne, tandis que le Français n’en dépense que 487 euros.

16% des Suédois se connectent régulièrement via leurs smartphones

En Suède, 91% de la population des jeunes et des moins jeunes (dans la tranche des 16 à 75 ans) naviguent régulièrement sur internet.

Selon la Chambre de commerce française en Suède, en 2010, 16% des Suédois pouvaient se connecter à Internet via leurs téléphones portables.

La Chambre de Commerce Franco-Norvégienne vous offre une large gamme de services adaptés à vos besoins.

Que vous soyez basés en France ou ailleurs et que vous êtes à la recherche d'opportunités d’export vers les pays scandinaves, Cortix vous rappelle que les Chambres de Commerce Franco-Norvégienne ou Franco-Suédoise constituent des pôles essentiels dans les relations économiques entre la France et ces pays. Fortes d’une bonne connaissance du milieu économique, du tissu industriel des deux pays ainsi que par leur longue expérience, ces chambres peuvent fournir d’excellentes prestations de services aux entreprises intéressées.

jeudi 13 octobre 2011

[Cortix e-commerce] : 2011 et les tendances positives de la vente en ligne !

Cortix a relevé que selon une étude publiée en septembre 2011 par le syndicat professionnel français « FEVAD » (Fédération e-commerce et vente à distance), les ventes en ligne sont restées sur leur élan et ont conservé, durant les six premiers mois de l’année 2011, leur tendance positive.

Les cyberacheteurs français ont dépensé 17,5 milliards d’euros en produits et services sur Internet au cours de ce 1er semestre 2011, soit un chiffre d’affaires (pour les sites de vente en ligne) qui représente 20% de plus qu’au cours de la même période en 2010.

Cette étude a été réalisée auprès des principales plateformes de paiement telles qu’Athos Worldline, SP-Plus (CNCE), Crédit Mutuel-CIC, Monext, Ogone,PayBox et Paypal, qui rassemblent (ensemble) environ 90 000 sites marchands. Le reste des données a été recueilli auprès des 40 sites « leaders » suivants :

3 Suisses, Accor hôtels, Alapage, Arianta, Camif Collectivités, Carrefour, CDiscount, Celio, Club Med, Darty, EBookers, Fnac, France-Loisirs, Go Voyages, Ipsopresto, Jm Bruneau, JPG, La Redoute, Lastminute, Ldlc, M6 Boutique, Manutan, Mistergooddeal, Nouvelles Frontières, Pixmania, Raja, Rue du Commerce, Sarenza, Sephora, Spartoo, Surcouf, Thalasseo, Topachat, vente-privee, Vertbaudet, Viking, Voyages Loisirs, Voyage Prive, Voyages-sncf.com, Welcome Office.

L’évolution du marché : Cette étude a permis de tirer les enseignements suivants :

La crise a eu une certaine influence sur certains secteurs et pas sur d’autres. Au cours du deuxième trimestre 2011, la tendance corollaire à la croissance des ventes des fameux 40 sites, cités plus haut, est d’environ 16% par rapport au deuxième trimestre 2010.

· Cortix a relevé que, depuis le début de l’année 2011, les ventes en ligne de vêtements progressaient sensiblement (+16% au 1er trimestre et +17% au deuxième trimestre). La croissance s’est ensuite poursuivie, bien dopée par les bons résultats des soldes d’été.

· Avec une progression (+8%) inférieure à la moyenne qui s’explique en partie par l’absence de l’émule de la dernière coupe du monde de 2010, les ventes de produits high-tech n’ont progressé que de 8% au 1er semestre 2011.

· Quant aux sites de l’e-tourisme, le chiffre d’affaires a nettement progressé (+16%) au 1er semestre. Ces bons résultats, obtenus malgré la conjoncture internationale défaillante, montrent que les agences de voyages en ligne ont su s’adapter par une compétitivité évidente.

· Avec plus de 20 000 nouveaux sites en un an, le nombre de sites utilisant des plateformes continue de progresser (+28%). À la fin du mois de juin 2011, on comptait près de 90 000 sites. La tendance vise les 100 000 sites d’ici 2012.

· Ces bons résultats constatés permettent de tabler sur une prévision de chiffre d’affaires annuel, en 2011, de 37 milliards d’euros, si la croissance se maintient, bien sûr, au même rythme sur le deuxième semestre avec + 20%).

lundi 10 octobre 2011

[Cortix News] : l'autorité de contrôle de la publicité britannique « ASA » s’attaque aux faux « avis » sur Internet

Cortix vous explique ci-après, suite à certaines plaintes de la part de plusieurs hôteliers et restaurateurs, que « TripAdvisor », l’un des sites de tourisme les plus importants au monde, est dans le collimateur de l’ASA (« Advertising Standards Agency » : autorité de contrôle de la publicité britannique).

Des milliers de sites d’hôtels de voyage se sont indignés quant à certains avis et commentaires affichés sur le net. Il semble que plusieurs de ces observations sont trompeuses, fausses ou diffamatoires.

En prenant les choses en mains, l’ASA ou « Advertising Standards Agency » qui a autorité de contrôle de la publicité britannique cherche à savoir, via son enquête, si le site « TripAdvisor » est en infraction par rapport à ses conditions de bonne conduite vis-à-vis des avis laissés par les internautes.

Les produits les plus plébiscités par de bons avis sont les plus achetés par les cyberacheteurs

Rappelons que les avis déposés sur le net par les clients ont une grande influence sur les décisions d’achats : plus un produit est plébiscité par de bons avis, plus les internautes achètent. Quand certains avis sont biaisés, le jeu est faussé et c’est cela que cherche à sanctionner cette autorité de contrôle.

mardi 4 octobre 2011

[Cortix News] « Catalogs » de Google : encore un service interactif, sur format tablette, dédié au e-commerce

Étant toujours sur la brèche, Google continue de lancer de nouveaux services. Le dernier né se nomme « Google Catalogs ». Cortix vous explique que l’objectif de Google est simple : il s’agit d’offrir aux distributeurs la possibilité de présenter leurs catalogues sur un format tablette et permettre aux utilisateurs de les consulter aisément, depuis une seule et même interface.

Actuellement, seule la version « iPad » est disponible, tandis qu’une version « Android » devrait arriver très prochainement.

« Google Catalogs » facilite efficacement le processus d’achat.

Particulièrement alléchant et agréable tant pour les distributeurs que pour les cyberacheteurs. « Google Catalogs » facilite efficacement le processus d’achat. Il semble même ludique pour les utilisateurs à cause du mur sur lequel il possible de coller des photos extraites des différents catalogues que l’on vient de consulter sur le net. Par voie de conséquence, il est donc possible, grâce à ce procédé, de comparer, choisir, localiser la boutique la plus proche et éventuellement acheter.

Aussi et grâce à cette fonctionnalité particulièrement prometteuse, l’utilisateur peut partager sa sélection avec ses amis.

Bref, avec ce nouveau service interactif, Google fait le pari du e-commerce.

Comptant sur la multiplicité des fonctionnalités du format numérique, l’intérêt et l’objectif consistent à utiliser des supports innovants, tels que les tablettes, afin de cibler une nouvelle niche de clients. La dimension sociale d’un tel média est bel et bien dans les visées stratégiques de Google.

[Cortix News] : Le marché du e-commerce évolue, alors que la présence sur le net, des entreprises européennes, stagne.

Cotix vous indique ci-après que l’Union Européenne s’évertue à trouver le bon concept qui permettrait de développer l’activité du commerce en ligne sur le plan européen et ceci dans un esprit de conformité avec la directive européenne commentée sur le blog e-commerce de Cortix suivant : http://www.ecommerce-cortix.fr/index.php?2011/06/09/204--cortix-news-que-va-changer-la-directive-e-commerce.

Par la même occasion et selon une récente étude réalisée par le cabinet « London Economics », Cortix vous parle des évolutions constatées quant aux habitudes des cyberconsommateurs européens dans un contexte qui a vu le volume de ces achats en ligne doubler en cinq ans (entre 2005 et 2010).

Même si la demande pour la vente en ligne s'accroît (et a doublé en cinq ans) la présence en ligne des entreprises européennes n'augmente pas pour autant. Seuls 14 % des entreprises européennes vendent en ligne des biens ou des services, soit autant qu'il y a cinq ans.

« London Economics » a noté aussi que les entreprises issues des différents pays d’Europe se disputent les mêmes niches de consommateurs et ceci, avec un degré élevé de transparence. Cette compétition conduit forcément à une réduction de leurs marges. Seules quelques entreprises arrivent toutefois à se distinguer et à valoriser leurs services en ligne pour parvenir par voie de conséquence à dégager des bénéfices

Plutôt nationalistes, les cyberacheteurs européens hésitent à acheter hors des frontières de leurs pays nations

D'autre part, il est à relever que :

· les cyber-consommateurs achètent surtout des vêtements et des biens ou services liés aux voyages.

· Paradoxalement, l'informatique et les équipements électroniques figurent parmi les produits les moins achetés en ligne.

· Enfin, les trois quarts des achats en ligne sont réalisés sur les marchés de leurs propres pays, seuls 23 % des cyberacheteurs achètent sur un site marchand basé dans un autre État membre.

L’Euro ne semble pas suffire

L’existence de la monnaie unique ne semble pas suffire. Il y a encore d’autres points à améliorer pour développer l’e-commerce européen. Selon les suggestions du « London Economics », on a noté les points suivants :

· l’harmonisation du cadre légal des systèmes de paiement standard (pour qu’une identification claire permette de gagner la confiance de l’acheteur),

· une facilitation des processus de résolution de litiges

· et une amélioration des services postaux à l’échelle européenne