jeudi 26 novembre 2009

[Cortix conseils] : Quels conseils pour s’armer contre le fléau de la fraude des paiements en ligne ?

Tout propriétaire de carte bancaire est de fait, exposé à cette nouvelle forme de fraude liée au développement des formules de paiement en ligne. La fraude de paiement en ligne par carte bancaire a grimpé de 76% en 2008 et a frôlé les 95 millions d'euros. Cortix vous donne quelques conseils pour déceler et éviter ces fraudes.

* Il est possible pour un e-commerçant averti de déceler des commandes anormales, par le montant élevé de la commande ou bien par la multiplicité de certaines commandes, au cours d’une courte période(une action qui peut cacher éventuellement un réseau de revendeurs de produits informatiques).

* Certains logiciels spécialisés, tels que Fianet, Secuvad ou Ogone, peuvent aussi dénicher les fausses commandes rien qu’en analysant leurs données. Ils peuvent ainsi juger du degré de fiabilité de l’opération. Les données prises en compte sont les coordonnées de l’acheteur, son adresse IP, ses données bancaires ainsi que le nombre de produits mis dans son panier.

* Afin de lutter contre ce fléau, Cortix vous rappelle qu'il est possible aussi, de varier les modes de paiement voire les paiements par chèques, les virements bancaires ainsi que la formule d’avoir recours à des intermédiaires de renom à qui l’internaute confie ses coordonnées personnelles et bancaires.

* Il est impératif aussi de faire attention aux paiements en provenance de l’étranger. Seules les pays asiatiques ainsi que l’Allemagne semblent être sûrs, mais plusieurs précautions valent toujours mieux qu’une.

Il vous est possible d’aller en avant au niveau de votre documentation en retrouvant notre article sur les systèmes de sécurité des paiements en ligne sur notre blog Cortix e-commerce.

mercredi 25 novembre 2009

[Cortix Conseils] : l’e-commerce et les erreurs à éviter

Pour bien installer une boutique en ligne, Cortix vous dévoile, dans cette note, quelques astuces et vous explique comment contourner certains pièges de l’e-commerce.

Avant de programmer la création d’une boutique sur le Net, il faut adopter le concept de la vente en ligne, dans toute sa logique qui est complètement différente de l’acte traditionnel de vente. L’offre de vente devra être cohérente avec la cible visée et dénuée de toutes les tracasseries accessoires. Il ne faut pas, par exemple, programmer la vente de produits lourds ou volumineux qui risquent de coûter cher au niveau de leurs livraisons.

Le design du site est forcément important, mais ne fait pas automatiquement vendre. Il faut opter pour une certaine simplicité qui devra faciliter la navigation de l’internaute et non pas lui compliquer la vie jusqu’à le faire fuir.

Donnez la possibilité à vos prospects ou clients de s’exprimer, leurs observations et leurs propositions pourraient s’avérer judicieuses pour vous, afin d’améliorer le mode d’étalage et de mise en valeur de vos produits.

Le facteur temps étant important, il ne faut pas s’impatienter si les ventes ne suivent pas rapidement vos premières installations. Il faut s’armer de patience et surtout d’ingéniosité pour coordonner et améliorer continuellement le site par de nouvelles photos et des contenus adaptés.

En demeurant en alerte dans une veille technologique continue, il faut que votre site soit accessible par plusieurs biais dont les liens sponsorisés. Ces derniers servent à retrouver les mots-clés adoptés par les clients. Ces mots-clés doivent figurer dans les fiches de vos produits.

Enfin, Cortix vous conseille de ne pas hésiter à communiquer et à faire la promotion de votre site et qu’il faut vous adaptez à ce nouveau concept, afin que votre site ait la meilleure visibilité et la crédibilité nécessaire.

lundi 23 novembre 2009

[Cortix veille] : détrônant la télévision, Internet stimule les actes d’achat

L’étude réalisée par IFOP concernant l’influence d’Internet, sur le comportement des Français au niveau des achats, est particulièrement significative. Cortix a relevé pour vous les points essentiels et vous en parle ci-après.

Au niveau des consultations et des comparaisons de prix, les Français vont d’abord sur Internet à 40% avant de se décider d’effectuer un voyage, et à 38% pour choisir un hôtel, tandis que 37% d’entre eux utilisent cette voie pour acheter leur téléphone portable.

Sur 100 personnes touchées par un message publicitaire sur le Net, 91% déclarent avoir pris en considération ce message dans leur acte d’achat.

30% des personnes sondées affirment faire confiance à cette source d’information tandis que 22% d’entre eux estiment que ce mode d’information devance, actuellement, largement la télévision et la presse écrite.

Internet est un support publicitaire aussi percutant que la télévision et procure vraiment l’envie d’acheter à plus de 25% des internautes sondés.

Selon Cortix cette étude révèle qu’Internet est, actuellement, un véritable stimulant au niveau de la réflexion et de la prise de décision d’achat des internautes et que le e-commerce a de véritables beaux jours devant lui.

jeudi 19 novembre 2009

[Cortix Conseil] de vrais ingrédients pour la mise en confiance de l’internaute !

Est-ce qu’un internaute accepterait de dépenser son argent s’il n’accorde aucun crédit au e-commerçant ?

Cortix se propose de mettre en exergue, ci-après, les quelques astuces et ingrédients qui permettront d’instaurer une relation avec l’internaute (ou prospect). Une relation qui saura le rassurer, le mettre en confiance et l’amener à s’ouvrir à votre site, à votre produit, à votre marque et de ce fait, l’encourager à aller plus loin dans cette relation.


Afin de conforter l’internaute dans ses achats, la mise en confiance se joue sur plusieurs terrains à la fois :

• Le respect « des obligations légales » cataloguées par l’expression : « pour la confiance dans l’économie numérique », est un des premiers points essentiels et nécessaires à l’instauration du climat de confiance. Il faut afficher clairement, en dehors du nom du site, toutes les coordonnées de la société qui gère cette enseigne : raison sociale, numéro de Siren, adresse complète, e-mail, numéro de téléphone (de préférence d’un fixe, c’est plus rassurant) ainsi que le nom du principal dirigeant.

• A cela, certaines entreprises, du e-commerce, ajoutent une rubrique dénommée « Qui sommes-nous ? » afin de mieux présenter l’activité de la société et afficher son appartenance, le cas échéant, à un groupe ou à une grande enseigne.

• Le fait, de présenter ses propres partenaires ainsi que les professionnels de renom qui entretiennent des relations d’affaires avec vous, est aussi un gage de sérieux et de notoriété.

• Ne pas hésiter aussi, à citer les noms des prestataires de paiements sécurisés, des providers et des plateformes e-commerce.

• Soyez créatifs et misez sur l’ambiance générale du site par des attributs graphiques et fonctionnels (cela fait « professionnel »).

• Au niveau du référencement de l’enseigne, jouez la transparence. Votre site doit être présent sur les sites spécialisés (d’associations de consommateurs, de label qualité, etc.).

• Tranquillisez votre client quant à la confidentialité de ses coordonnées et personnalisez votre service après-vente.

• La mise en place d’un livre d’or peut parfois aider à instaurer ce climat de confiance auprès ces internautes, puisque cet outil démontre que d’autres clients sont passés par là avant eux et ont été satisfaits du service.

• N’oubliez pas l’espace « contact » qui doit comporter un formulaire pré-établi, afin de permettre au client de communiquer avec vous et vous passer ses messages spécifiques.

Cortix vous recommande, en définitif, de faire de telle sorte que votre client se sente privilégié et qu’il est entrain de faire de bonnes affaires.

mercredi 18 novembre 2009

[Cortix info] Le "retargeting", une aubaine pour les e-commerçants en mal de performances!

Comment diminuer le taux de frustration des e-commerçants (confrontés à la problématique de performance) qui voient souvent les internautes, ou clients potentiels, visiter leurs e-boutiques, s’arrêter, hésiter et puis surfer vers d’autres horizons, le panier vide ?

La solution semble avoir été trouvée avec le « retargeting » !
Ci-après, Cortix vous fait le point, afin de vous faire profiter de cette technique marketing qui fait revenir les internautes qui ont zappé votre site e-commerce sans s’y approvisionner.

Le retargeting, (ou reciblage publicitaire), pousse indirectement et en finesse, l’internaute à revenir sur le site e-commerce qu’il vient de quitter, sans utiliser les techniques comportementales classiques. Il s'appuie sur des données de navigation individuelles.

Cortix vous fait découvrir ce procédé qui intervient par l’intermédiaire de bannières publicitaires personnalisées et qui tient compte des recherches de l’internaute et des différentes pages visitées. L’annonceur d’un site marchand peut donc lui adresser un message spécifique sur un réseau de sites susceptibles d’être visités afin que l'internaute reviennent sur le sien.

Afin de repérer les attitudes comportementales de l’internaute en question ainsi que les pages visitées, il suffit de déposer un « cookie » sur son ordinateur lors de la visite de l’internaute au site marchand qui utilise le reciblage publicitaire (ou retargeting).

Plusieurs e-commerçants de grandes enseignes ont recours à ce procédé. Amazone qui utilise cette technique arrive à dépasser 35% de ses ventes par ce biais.

Le taux de clic moyen d'une bannière personnalisée est de 0,6%, mais il peut aller jusqu'à 2,5% dans le cadre de certaines campagnes estime Pascal Gauthier chez Criteo. Il explique aussi qu'un taux de clic de 0,09% dans le cadre d'une campagne classique équivaut à 0,12% lorsqu'il s'agit de reciblage non personnalisé et 0,5% pour le reciblage personnalisé.

lundi 16 novembre 2009

[Cortix actu] Sur le Net: l’approvisionnement des « pro », à la loupe !

Les entreprises profitent-elles des possibilités d’achat en ligne à bon escient ? Quelles sont leurs attentes ? Comment effectuent-elles leurs approvisionnements sur Internet ? À quel rythme et pour quelles raisons ?

Cortix a relevé, pour vous, certaines réponses, à partir d’une étude réalisée par Fevad/Benchmark Group quant au e-commerce et son attrait vis-à-vis des entreprises.

Suivant les déclarations des personnes sondées au sein des entreprises, la priorité des achats professionnels va en premier lieu à l’approvisionnement en ligne avec 81%. Les achats, à partir des catalogues imprimés, sont tombés à 30%, tandis que 21% des personnes concernées continuent à aller en magasin. Ceux qui utilisent le téléphone sont de l’ordre de 20%.

Concernant les entreprises et le rythme d’utilisation du Net, la fréquence de leurs achats en ligne représente, pour 13% d’entre eux, une fréquence d’une fois par mois, alors que 33% déclarent le faire une fois par trimestre, tandis que la majorité avoue acheter sur Internet une à deux fois par an.

N’en est-il pas moins que le budget annuel représente en moyenne un montant qui varie entre 500 et 5000€.

Cortix a noté, sur cette étude, que c’est le gain de temps (avec un taux de 63%) qui prévaut, en ce qui concerne les raisons de ces approvisionnements en ligne. En effet, le fait de pouvoir le faire en dehors des horaires traditionnels de travail (et même la nuit) ainsi que les facilités de livraison font de ce fait une opportunité attrayante.

En ce qui concerne le facteur prix, seulement 16% des personnes interrogées y sont particulièrement sensibilisées alors que 25% mettent en avant le grand choix et la possibilité de pouvoir comparer les prix.
27% de ces entreprises font quand même de la résistance, en accordant une réelle importance à certaines habitudes, aux relations humaines ainsi qu’à leur fidélité aux fournisseurs habituels.

Ceux qui n’ont pas encore adopté Internet représentent 13% alors que 22% de certains connaisseurs et pseudo connaisseurs reprochent, à quelques sites limités, certaines insuffisances d’ordre pratique.

Cortix trouve aussi, qu’il est important de remarquer, que 42% des PME et PMI étudient les offres sur les catalogues imprimés avant de s’approvisionner sur le Net.

Quant aux souhaits et revendications des acheteurs potentiels, 83% des entreprises réclament une généralisation des accès aux devis en ligne et 68% aspirent à trouver des guides et des conseils mettant en exergue le rapport qualité prix.

Quant aux aléas et difficultés de ce mode de commerce électronique, sans parler des produits manquants ou détériorés qui sont de l’ordre de 5%, il ressort que 8% des délais de livraison ne sont pas tenus.
La pratique des livraisons partielles est courante à un taux de 7%, vu que les stocks ne sont pas toujours en conformité avec le niveau des promotions.