mercredi 27 avril 2011

[Cortix News] : Le marché européen du colis (standard comme express) a repris de véritables couleurs en 2010

Cortix a relevé pour vous que le marché européen du colis retrouve des couleurs et connaît un véritable retour à la croissance. Un retour à la croissance notamment tiré par l'e-commerce dont l'essor a bénéficié au groupe français « La Poste » et à ses filiales « GeoPost » et « ColiPoste ».

C’est sur fond de crise financière, aggravée par une guerre des prix que le marché du colis en Europe a connu, entre 2008 et 2009, une baisse des volumes échangés de 2,3%, avant de rebondir de +9,8% en 2010.

« En effet, entre 2008 et 2009, nous avons connu un creux économique qui a heureusement été sans conséquence, puisque nous avons retrouvé en 2010 le niveau d'avant-crise », a résumé le patron de La Poste Jean-Paul Bailly, lors d'un déplacement en Allemagne.

Derrière « Deutsche Post-DHL », « La Poste » est deuxième opérateur européen du colis et du colis-express. « Deutsche Post-DHL traite plus de 2 millions de colis par jour et compte plus de 800 dépôts répartis dans une quarantaine de pays.

« Cela s'explique d'abord par la reprise de la croissance et donc des échanges, mais également par le développement du moteur complémentaire de croissance que représente l'e-commerce », a ajouté M. Bailly, venu célébrer les dix ans de l'entrée de « La Poste » dans le capital de l'entreprise allemande DPD, qu'elle détient à 84% à travers sa filiale « GeoPost ».

Une nouvelle logistique basée sur le numérique ainsi qu’une nouvelle offre adaptée aux particuliers

Cortix rappelle donc que les ventes et des commandes sur internet qui ont particulièrement augmentées ont bouleversé la donne, ce qui implique automatiquement une nouvelle logistique pour les acteurs du secteur colis. « La Poste » ou encore l'allemand « DHL » ont du s'adapter à une société de plus en plus numérique.

« Livrer une entreprise, une boutique ou un entrepôt n'a rien à voir avec livrer un particulier. Si les premiers sont toujours ouverts, le particulier n'est pas forcément chez lui lorsqu'on arrive », a souligné M. Preuss.



mardi 26 avril 2011

[Cortix News] Les crédits Facebook, au pied d’une montagne de cash virtuel

Cortix attire votre attention sur le fait que grâce à la monnaie virtuelle (ou crédits) de Facebook lancée en 2010, les utilisateurs de ce grand réseau mondial, arrivent, , à valoriser les publications de leurs membres, mais aussi d’acheter des objets virtuels dans plus de 150 jeux jeux. A partir de juillet prochain, les développeurs d’applications vont être amenés obligatoirement à utiliser cette monnaie.

La question se pose donc sérieusement pour les e-commerçants. Comment devront-ils réagir ? Cette arrivée massive, sur l’ensemble du réseau Facebook, d’une application de monnaie virtuelle donnerait un véritable coup de fouet aux transactions en ligne et tracerait effectivement la voie vers la première monnaie globale.

Dès sa naissance, cette monnaie virtuelle a permis de développer les différentes communautés de joueurs en ligne.

Parmi les meilleurs exemples, il est à citer « Zynga » l’éditeur de « social games » ayant le plus de succès (avec : Farmville, Mafia Wars, Café World, Texas HoldEm Poker…). Sa force est d’avoir su acquérir en un temps record une grande maîtrise des mécaniques de jeux qu’affectionnent les utilisateurs et leurs dernières créations sont des francs succès (Treasure Isle).

De récentes estimations, affirment que les « social games » de Zynga réunissent 243 millions d’utilisateurs uniques dont 60 millions d’utilisateurs journaliers, Un résultat particulièrement remarquable, d’autant plus qu’ils ont également mis en place un modèle économique redoutable qui a été bien stabilisé depuis. Les revenus proviennent ainsi majoritairement de la vente d’objets virtuels, directement sur le site ou par le biais de cartes prépayées qui sont vendues en grande distribution (les Zynga Game Cards).

Les différentes marques se sont donc mis à utiliser ces crédits Facebook pour animer leur page fan. Les entreprises américaines et anglaises ont enregistré de très bons résultats. Leur taux de transformation atteint 30% grâce à cette nouvelle monnaie.

2011 : Les crédits Facebook débarquent en France

Cortix a noté que depuis janvier 2011, les e-commerçants français ont sauté sur cette opportunité en utilisant ces crédits facebook pour lancer des jeux concours. A titre d’exemple, et en ciblant des objectifs variés tels que l’augmentation du nombre d’inscrits et l’annonce exclusive de certaines promotions, la Redoute a lancé trois opérations spéciales pour ses fans. Tandis quze les éditeurs de jeux se réjouissent aussi d’un tel engouement.

vendredi 15 avril 2011

[Cortix tendance] : « IAdvise », une solution de Chat, outil innovant pour la gestion de la relation client

Cortix a relevé pour vous que les « solutions de Chat » commencent à prendre de l’importance pour la GRC (Gestion de la Relation Client) car elles impactent, à la fois :
• sur l’acquisition de nouveaux clients, (voire les cas où l’opérateur engage la conversation avec le prospect afin de consolider son intention d’achat)
• et sur la qualité de service lorsque l’entreprise anticipe les questions de prix, de disponibilité des articles et des questions plus techniques orientées produit. Un procédé innovant qui aide le client (ou prospect) à identifier son besoin et y répondre en direct.


Plusieurs entreprises (dont la FNAC) utilisent la solution « iAdvise » pour optimiser la Gestion de la relation client. Grâce à l’intégration d’iAdvize sur leurs sites, les visiteurs peuvent solliciter un conseiller en direct afin de recevoir conseil et service (ou être accompagnés dans leur navigation).
« iAdvize » est une solution de gestion de la relation client par « Chat intelligent », qui permet à un conseiller d’apporter de l’aide aux visiteurs (et ainsi augmenter ses ventes) et améliorer la satisfaction client.

Le terme « iAdvize » vient de l’anglais « I advise « (je conseille).

Grâce à sa commercialisation, depuis avril 2010 par une jeune start-up spécialisée dans l’innovation, plus de 200 clients B2C ou B2B font confiance aujourd’hui, à « iAdvize », pour gérer leur relation client par Chat.

Satisfaction client et plus-value


Derrière le chat, l’e-commerçant peut également suivre en temps réel ce qui passe au niveau des pages consultées, voire le temps de navigation ainsi que la conversion des visiteurs en clients. Ce chat permet aussi d’augmenter, à terme, le nombre des ventes. La société initiatrice de ce concept a pu évaluer, depuis sa création, le taux moyen de conversion qui est de l’ordre de 15% à 20% par rapport au nombre de « chat » engagés.

jeudi 7 avril 2011

[Cortix tendance] : Attention ! Les séniors du 3ème âge s’attaquent aux achats en ligne et s’illustrent en tant que cible privilégiée

D’après une étude sérieuse réalisée pour « Kelkoo » par l’institut « LH2 », les internautes séniors français sont de plus en plus nombreux à effectuer leurs achats en ligne. Une nouvelle catégorie de clientèle particulièrement intéressante pour les e-commerçants et leurs marqueteurs.

Cette nouvelle cible représente déjà, à ce jour, 11 millions d’internautes séniors de plus de 50 ans. Cortix a noté au travers de cette étude que cette cible représente 34% des cyberacheteurs actuels en France.

Statistiques, tendances et fidélité de ces séniors par rapport au « net » :

- 61% des 60–69 ans disposent d’un PC à domicile
- Les dépenses sur Internet de ces séniors sont de l’ordre de 45 milliards d’euros par an, ce qui représente 48% des dépenses annuelles totales des Français sur le « net ».
- Durant ces 12 derniers mois, les dépenses de ces cyber-acheteurs séniors ont augmenté de 14% chez les 50-65 ans et de 73% chez les plus de 65 ans.
- La moyenne de leurs dépenses mensuelles sur Internet, est de l’ordre de 137 euros.
- 30% d’entre eux s’approvisionnent sur le « net » jusqu’à trois fois par mois tandis que 6% (bien organisés) font leurs achats au moins une fois par semaine ».

Les loisirs (dont les voyages) et l’attrait culturel demeurent leurs produits de prédilection.

79% de leurs achats en ligne concernent les loisirs et notamment les voyages. Les produits culturels (68%), le high-tech (52%), les vêtements (50%), l’électroménager (49%), les places de spectacle (47%) et les produits de beauté et de santé (39%).

Leurs motivations propres tournent autour des économies qu’ils peuvent faire sur le « net » ainsi que son accès à une plus large proximité.

Les raisons pour lesquelles ils utilisent Internet ?

Près de 52% des cyber-acheteurs séniors affirment y trouver un plus grand choix au niveau des promotions, d’où certaines économies. Pour 36% d’entre eux, les achats en ligne leur permettent de gagner du temps. 27% déclarent que ce procédé leur permet d’acheter des produits indisponibles à proximité de leurs chez-soi.

Les séniors vont devenir des acteurs incontournables de la consommation en ligne

Cortix vous fait noter aussi que d’ici les dix prochaines années, les Français âgés de 50 à 70 ans vont devenir des acteurs incontournables de la consommation en ligne. Un tiers de la population française (23,5 millions) a déjà plus de 50 ans et les prévisions révèlent une croissance de la population senior de l’ordre de +1,1 % par an jusqu’en 2020. Globalement, le niveau de vie des seniors est aujourd’hui quasi-similaire à celui de la population active, avec un revenu annuel moyen de 21 540 euros pour un retraité contre 21 760 euros pour un actif. Et d’ici 2015, la consommation des 50 ans et plus devrait représenter plus de 50% du marché global, avec un budget principalement dédié aux dépenses de santé, à l’alimentation, aux assurances ou encore à l’équipement de la maison.

[Cortix News] mobilisation contre une directive européenne qui freinerait l’essor du e-commerce !

Cortix a relevé pour vous que, concernant les droits des consommateurs et plus particulièrement l’amendement de l’article 11, les professionnels du e-commerce français ont manifesté leur mécontentement en envoyant un courrier aux autorités compétentes du gouvernement français et au Parlement Européen.

Se sentant menacées par l’éventuel impact de ces nouvelles dispositions prises par la commission « Marché Intérieur et Protection des Consommateurs » (MICO), les quatre fédérations et association suivantes ont donc décidé de réagir :

• l’Association Française de la Relation Client (AFRC),
• la Fédération du E-commerce et de la Vente à Distance (FEVAD),
• la Fédération de la Vente Directe (FVD),
• la Fédération Française des Télécoms (FFT)

Ces nouvelles prérogatives obligeraient les e-commerçants, dans la cadre d’une vente à distance par téléphone, à confirmer leurs offres par écrit tandis que l’internaute acheteur est tenu à une signature sur le contrat.

D’après les organisations mobilisées de telles dispositions pourraient retarder l’essor du e-commerce et avoir un effet sur l’emploi parce que l’attrait premier des achats (ou ventes) en ligne est (et doit rester) la rapidité des transactions. En 2010, sur les 34,6 millions de cyber-acheteurs français, 2% ont utilisé ce procédé.

L’autre son de cloche : certains avaient considéré que c’est une nouvelle avancée européenne

Cortix rappelle aussi que le Conseil de l’Union européenne avait en effet adopté le 24 janvier dernier la révision de la directive visant à lutter contre les retards de paiement dans les transactions commerciales. Cette adoption fait suite à l’accord obtenu en septembre dernier entre le Parlement européen et le Conseil.
Certains avaient considéré que c’est une nouvelle avancée de cette Europe qui intervient pour protéger ses PME, sources de croissance et d’emploi : « Cette directive constitue une déclinaison concrète du « Small Business Act » à l’européenne que les autorités françaises ont promu durant la Présidence française de l’Union européenne ».