mardi 10 mai 2011

[Cortix Tendance] : « Plyce » passe à un système de rémunération négocié avec les enseignes

Changeant de stratégie, « Plyce » devient une application utilisant la technologie de géolocalisation et référençant les bons plans (réductions, promotions…) avec des offres de proximité. Cortix revient, à travers cet article, sur le social shopping qui est un nouveau concept commercial qui, tout en s’appuyant sur le repositionnement récent d’un outil de géolocalisation, place les données sociales au cœur du processus d’achat en ligne.

Les techniques dont disposent actuellement, les e-commerçants afin d’opter pour ce type de stratégie reposent sur soit l’intégration d’un widget Facebook, soit de fixer une vitrine de vente sur les réseaux sociaux.

e-Shopping : « Plyce » et les bons plans à trouver autour de chez vous.

Depuis le début mars 2011 et grâce à la nouvelle version de son application « Plyce » vous permet de trouver les bonnes affaires dans les points de vente à proximité de chez-vous avec réductions, promotions, cadeaux, etc... A partir du site web ou de l'application pour smartphones, « Plyce » vous informe des bons plans autour de vous.

Cortix signale par ailleurs, que des programmes de fidélité, des jeux, des challenges vous sont proposés par les magasins qui vous permettent de gagner aussi des avantages supplémentaires. Vous pouvez suivre les programmes existants et votre avancement depuis le site web ou depuis votre smartphone.

Actuellement, « Plyce » mise de plus en plus sur le shopping géolocalisé

Une sélection d’offres valables en fonction leur situation géographique, est de suite à portée de clic, dès que vous lancez l’application en question.

Rappelons que « Plyce » a lancé sa nouvelle application avec une offre assez pléthorique : 30 000 bons plans dans 30 000 points de vente différents.

La qualité et la quantité des offres devraient permettre à « Plyce » de faire décoller le nombre de téléchargements. Mieux, Plyce passe à un système de rémunération négocié avec les enseignes. Plyce compte donc sur les offres de lancement (deals avec Gap et Hertz notamment) pour acquérir une base importante d’utilisateurs. Vraisemblablement, Plyce tire aujourd’hui ses revenus d’un pourcentage prélevé sur les bons plans débloqués par les utilisateurs. Plyce a donc tout intérêt à proposer des offres séduisantes qui transforment au maximum sur de l’achat.

lundi 2 mai 2011

[Cortix News] : L’émancipation du "e-commerce" passe par le "m-commerce" (sur mobile) et le "f-commerce" (sur Facebook)

Selon la FEVAD), après avoir généré dans les 31 milliards d'euros en France en 201, le e-commerce apportera cette année près de 200 milliards d’euros en Europe. Plusieurs variantes du commerce électronique viennent de voir le jour petit à petit, parallèlement au concept traditionnel et viennent agrandir le champs d’action du e-commerce voire par le « m-commerce » (grâce à l’existence de plus en plus élevée d’utilisateurs de Smartphones, le m-commerce se développe et s’adapte à ses clients sur mobile) ainsi que le « f-commerce » (qui profite d’un vrai buzz, mais peine encore à prendre ses marques sur le réseau social). Cortix vous donne, ci-après, un aperçu de cette nouvelle tendance.

Pour le moment, Facebook est seulement un pourvoyeur de trafic

En effet, 98% des marchands en ligne seront présents sur le réseau social Facebook cette année, mais très peu d'entre eux y réaliseront des ventes, selon une étude publiée par CCM Benchmark Etudes. "A ce jour, la quasi-totalité des initiatives e-commerce sur Facebook se limitent à la publication de produits sur la page du distributeur avant de rediriger l'internaute vers le site d'e-commerce. Facebook est donc pour le moment surtout un pourvoyeur de trafic", indique l'étude tout en signalant deux exceptions en France, Pixmania et la Redoute, qui "ont intégré le paiement sur le réseau social". Sur Facebook, 77% des sites n'ont pas prévu l'utilisation de dispositifs transactionnels.

Avec de plus en plus d’utilisateurs de Smartphones, « m-commerce » se développe et devient une vraie « réalité économique »

De son coté le « m-commerce » se développe et s’harmonise aux besoins de ses adeptes. Pour des entreprises comme « eBay », le « m-commerce » devient un acteur incontournable de la vente en ligne. En ce qui concerne donc le « m-commerce », le nombre de sites devrait doubler cette année. 22% disposent déjà d'un site ou d'une application transactionnelle et 22% l'ont prévu d’ici fin 2011. Côté transactions payées avec le mobile, 600 millions dollars ont été réalisées en 2010 qui devraient passer la barre de 1,5 milliards de dollars cette année 2011.

Pour les acteurs qui le proposent, le « m-commerce » ne représente encore qu'une part infime du total des ventes : entre 0,2 et 1,1% du chiffre d'affaires internet. Seuls quelques acteurs comme « Vente-privee.com » ou « eBay » réalisent une part substantielle de leur chiffre d'affaires sur mobile". eBay a enregistré 13 millions d'applications mobiles téléchargées à ce jour.

Cortix précise que cette étude a été réalisée en janvier et février 2011 avec les responsables de 57 sites de e-commerce et trois plateformes fédérant 10 000 e-commerçants.

[Cortix News] : Quelle plus-value pour un « agent virtuel » dédié à la relation client et comment développer la synergie canaux de contacts traditionn

Les attentes des consommateurs en termes de services a évolué et a bouleversé les stratégies de la « relation client » au niveau des entreprises. Cette nouvelle génération de consommateurs est devenue impatiente, exigeante et constamment connectée, d’où l’apparition de « l’agent virtuel intelligent » au service de la « relation client ». Cortix vous parle de ce sujet et des tendances qu’il engendre dans les entreprises, au niveau des différentes stratégies relationnelles et de communication.

Une étude sur les enjeux et les défis de la relation client dans sa version virtuelle, vient d’être publiée par « VirtuOz », leader des solutions d'agent virtuel intelligent. En outre, les analyses du cabinet d'analystes « Gartner Research », confirme les annonces de « VirtuOz » qui affirment que dans 3 ans (ou 5 tout au plus), l’utilisation des « assistants virtuels » sera généralisée au niveau des entreprises afin de gérer une « relation client virtuelle» interactive et efficace. D’ailleurs, Une conférence vient de se tenir le 5 avril 2011 à Paris Expo, sous le titre : « L'Agent Virtuel Intelligent au coeur de votre Relation Client Digitale », avec le témoignage client de SFR.

Cortix a relevé aussi que VirtuOz a récompensé l'innovation et la créativité de ses clients, à l’occasion de la première édition du prix « Digital Customer relationship Awards » par les récompenses suivantes : Voyages-sncf.com pour le prix du « Pionnier », Discountéo pour la prix de «L'innovation » et Ciel ! Pour le prix du « Visionnaire ».

A chaque question, la réponse de « L’Agent Virtuel Intelligent » sera proactive, précise et en temps réel

Au niveau d’un moteur de recherche, l’internaute doit trouver la réponse à sa question parmi une sélection de propositions. Le moteur de recherche présente les résultats en fonction des mots clés saisis, l’utilisateur doit alors trouver l’information qui l’intéresse. Cette solution apporte rarement une réponse pertinente à la question. Tandis que « l’Agent Virtuel Intelligent », déjà disponible en mode SaaS, va tenter de répondre pro-activement et précisément à la question du client.

Après avoir soumis sa question, l’utilisateur se laisse guider, à travers un dialogue interactif, vers la réponse qui correspond à sa demande spécifique. En effet, l’Agent Virtuel peut interroger l’utilisateur, se baser sur les informations du back office pour personnaliser l’échange et lui proposer des réponses pertinentes.

Les entreprises pensent déjà à l’avantage concurrentiel qu’ils pourraient obtenir avec ces solutions

De grandes enseignes internationales (telles que eBay, SFR, L’Oréal, Crédit Agricole, etc.) comptent sur ces solutions innovantes pour optimiser leur expérience client et affirment que ces « agents virtuels » vont occuper une place centrale dans les stratégies de communication des entreprises.

Parmi les responsables d’entreprises interrogés, 87,5% d’entre eux pensent que l'agent virtuel intelligent sera au cœur de leur stratégie futur d'interaction client, tandis que 75% pensent à l’avantage concurrentiel qu’ils pourraient obtenir avec l’introduction de ce processus dans leur offre de service client.