vendredi 25 mars 2011

[Cortix News] : Evolution et impact de la crise sur les TPE et les PME

Se basant sur le dernier baromètre édité par TNS-SOFRES, Cortix présente ci-après les différentes évolutions économiques des TPE et des PME. En effet, si les effets négatifs de la dernière crise économique et financière mondiale commencent à être dépassés pour les PME, leurs impacts ont été ressentis différemment sur ces deux structures et a modifié leurs perspectives pour 2011.


L’optimisme étant de mise depuis fin 2008, la situation des PME semble s’être nettement améliorée. Seules 12% des PME ressentaient une sensible amélioration entre la période néfaste de la crise et fin décembre 2008. Depuis, cette proportion de PME a graduellement et sensiblement augmenté jusqu’à atteindre aujourd’hui les 46%.
A l’inverse, à fin 2008, sur les 88% des PME restants, 51% d’entre eux trouvaient que l’évolution ressentie n’était pas aussi bonne, qu’une année plus tôt. Une proportion (51%) qui a, par contre, diminué jusqu’à atteindre 20% aujourd’hui, deux ans après.

Ces entreprises ne comptent plus comme auparavant sur l’attractivité de leurs secteurs d’activité. Actuellement, l’attente d’une bonne tendance vers des perspectives évolutives, hante 67% des responsables des PME, alors qu’elle concernant 48% d’entre eux en 2008.
Par contre, les TPE sont plus réservés quant à une évolution positive durant l’année en cours. Très prudents, seules 15% d’entre eux y croient sérieusement.

Actuellement, la trésorerie et les perspectives de ventes semblent convenir aussi bien aux TPE qu’aux PME mais la rentabilité est plutôt favorable aux PME (58%) qu’aux TPE (50%).
N’en demeure pas moins qu’une certaine appréhension demeure pour les dirigeants des deux catégories d’entreprises (TPE et PME) par rapport à une baisse prévisible d’environ 23% des Chiffres d’affaires et de 25% de la trésorerie sur les trois mois à venir.

Afin de freiner ces perspectives, Cortix vous fait remarquer que les PME comptent effectuer des embauches sur les trois prochains mois afin de renforcer leurs forces de vente tandis que les TPE demeurent moins offensives sur ce terrain-là : La proportion de PME envisageant des embaucher a triplé depuis le début de la crise, alors que les TPE prévoient presque toutes une stabilité de leurs effectifs. Les perspectives d’embauche sont de l’ordre de 6% pour les TPE avec salariés et de 12% pour les TPE sans salariés.

mardi 22 mars 2011

[Cortix News] : Evolution et impact de la crise sur les TPE et les PME

Se basant sur le dernier baromètre édité par TNS-SOFRES, Cortix présente ci-après les différentes évolutions économiques des TPE et des PME. En effet, si les effets négatifs de la dernière crise économique et financière mondiale commencent à être dépassés pour les PME, leurs impacts ont été ressentis différemment sur ces deux structures et a modifié leurs perspectives pour 2011.

L’optimisme étant de mise depuis fin 2008, la situation des PME semble s’être nettement améliorée. Seules 12% des PME ressentaient une sensible amélioration entre la période néfaste de la crise et fin décembre 2008. Depuis, cette proportion de PME a graduellement et sensiblement augmenté jusqu’à atteindre aujourd’hui les 46%.
A l’inverse, à fin 2008, sur les 88% des PME restants, 51% d’entre eux trouvaient que l’évolution ressentie n’était pas aussi bonne, qu’une année plus tôt. Une proportion (51%) qui a, par contre, diminué jusqu’à atteindre 20% aujourd’hui, deux ans après.

Ces entreprises ne comptent plus comme auparavant sur l’attractivité de leurs secteurs d’activité. Actuellement, l’attente d’une bonne tendance vers des perspectives évolutives, hante 67% des responsables des PME, alors qu’elle concernant 48% d’entre eux en 2008.
Par contre, les TPE sont plus réservés quant à une évolution positive durant l’année en cours. Très prudents, seules 15% d’entre eux y croient sérieusement.

Actuellement, la trésorerie et les perspectives de ventes semblent convenir aussi bien aux TPE qu’aux PME mais la rentabilité est plutôt favorable aux PME (58%) qu’aux TPE (50%).
N’en demeure pas moins qu’une certaine appréhension demeure pour les dirigeants des deux catégories d’entreprises (TPE et PME) par rapport à une baisse prévisible d’environ 23% des Chiffres d’affaires et de 25% de la trésorerie sur les trois mois à venir.

Afin de freiner ces perspectives, Cortix vous fait remarquer que les PME comptent effectuer des embauches sur les trois prochains mois afin de renforcer leurs forces de vente tandis que les TPE demeurent moins offensives sur ce terrain-là : La proportion de PME envisageant des embaucher a triplé depuis le début de la crise, alors que les TPE prévoient presque toutes une stabilité de leurs effectifs. Les perspectives d’embauche sont de l’ordre de 6% pour les TPE avec salariés et de 12% pour les TPE sans salariés.

[Cortix Tendance] : Adhésion et hésitations face aux paiements en ligne via le téléphone portable

Se basant sur le dernier baromètre IFop pour Wincor Nixdorf quant aux moyens de paiements électroniques, Cortix vous fait remarquer que malgré les 250 millions de paiements par carte bancaire qui ont été réalisés sur la France en 2010, la nouvelle tendance des commerçants serait pour un paiement en ligne via le téléphone mobile.

41% des Français se déclarent déjà favorables aux règlements de leurs achats via le téléphone mobile alors que 19% y sont particulièrement opposés. Parmi les critères d’influence sur ce nouveau comportement, l’étude démontre que la profession et le niveau du salaire seraient déterminants sur le choix de paiement par mobile.
Par le niveau de leurs salaires, 57% des cadres supérieurs et les professionnels optent aisément pour cette formule tandis que 32% seulement parmi les ouvriers trouvent leurs comptes dans ce mode de paiement électronique. La tendance se précise un peu plus au niveau des tranches de salaire dépassant les 5000 Euros (voire 57% d’entre eux) et celles des moins de 1500 Euros (38%).

Critères de choix et de rejet du paiement par mobile


A 82%, c’est la simplicité de l’exécution de l’opération qui est la principale motivation des adeptes de ce mode de paiement. 51% d’entre eux affirment que la rapidité qui les motive le plus.
Cortix vous fait remarquer aussi qu'à contrario, 79% des personnes défavorables à ce procédé disent que c’est le côté sécuritaire et l’absence de confiance qui freine leurs élans. Une proportion qui touche particulièrement les jeunes à 89% et à 84% les citadins de l’agglomération parisienne. Deux handicaps supplémentaires se retrouvent dans les affirmations des personnes sondées : premièrement le « coût élevé des opérations » selon 29% d’entre eux et la « complexité » (selon 21%).

Innovations et nouveaux attraits

Mis à part leurs achats en tant qu’internautes, les Français apprécieraient les innovations au niveau des services bancaires :
- 30% des Français aimeraient pouvoir retirer de l’argent liquide via un distributeur avec leur téléphone portable au lieu de leur carte électronique..
- Le même engouement existe aussi pour un éventuel micro paiement via des services électroniques comme Twitter et Paypal.
- Le transfert de certaines petites sommes d’argent d’un téléphone portable à un autre serait aussi apprécié et de même pour le remplacement du code à 4 chiffres par téléphone.