mardi 21 juin 2011

[Cortix News] : La 8ème édition du salon E-commerce de Paris aura lieu du 13 au 15 septembre 2011 à la Porte de Versailles

Cortix vous informe que la 8ème édition du salon E-commerce de Paris, ce grand Rendez-vous européen et référence du secteur, aura lieu, cette année, sur une surface plus élargie de 15%, du 13 au 15 septembre 2011 à la Porte de Versailles. Le cycle de conférence de cet évènement réunira dans les 20 000 auditeurs en 3 jours, ainsi que 400 conférenciers

En effet, ce salon, qui aura lieu comme pour les années passées au « hall 7.3 » de la Porte de Versailles, accueillera les professionnels des différentes filières du secteur du e-commerce afin de confronter les tendances et développer certains réseaux d'affaires. Ce Salon réunira cette année plus de 500 exposants, dont 40% d’envergure européenne et près de 400 conférenciers.

Le salon couvrira 3 grands espaces : Technos e-commerce, Marketing Digital et Logistique.

Les dernières innovations du e-commerce y seront toutes présentées dans chacun des trois grands espaces du salon : Technos e-commerce, Marketing Digital et Logistique. Les inscriptions pour l'édition 2011 sont déjà ouvertes et gratuites. Lors de la précédente édition du salon e-commerce, près de 28 000 personnes ont visité le salon.

Beaucoup de nouveautés sont attendues, voire des espaces tels que « Mobile commerce » et « Social commerce », etc.

L’édition 2011 de ce salon se distinguera par les nouveautés suivantes :

- Un espace « Mobile commerce » dédié aux spécialistes du « m-paiement » et du » m-commerce ».
- Un espace « Social commerce » dédié aux jeunes entreprises innovantes sur ce secteur.
- Un Pavillon québécois, organisé conjointement avec Ubifrance, accueillera 15 entreprises canadiennes dirigées par des jeunes entrepreneurs de moins de 35 ans.
- Des conférences sectorielles pour examiner la réalité du e-commerce au plus près du terrain
- Et bien d’autres nouveautés…

Afin de tenter de remporter les « 4ème E-Commerce Awards », plusieurs candidatures sont attendues

La cerise sur le gâteau de cet évènement concerne la compétition lancée afin de découvrir toutes les innovations phares du marché. Ces innovations technologiques seront récompensées par les « 4ème E-Commerce Awards ». Les postulants à ces « Awards » entreront en compétition dans l'une des neuf catégories proposées, dont la relation client, la sécurité, l’international, etc. Le jury, composé de professionnels reconnus dans le domaine du e-commerce et de représentants institutionnels, sera présidé cette année par Xavier Court, co-fondateur de vente-privee.com,. Lors de la précédente édition, 240 dossiers avaient été reçus et 12 pays représentés.

lundi 20 juin 2011

[Cortix News] : la mutation du e-commerce et les perspectives de la directive européenne

Lors de la 3ème édition du « Global E-commerce Summit », les acteurs du commerce électronique s’étaient réunis à Barcelone. 10 associations représentant 8 pays (Belgique, Danemark, Espagne, Finlande, France, Hollande, Italie, Royaume-Uni) ainsi que l’association européenne EMOTA, ont cosigné une déclaration afin d’exprimer leurs inquiétudes concernant la proposition de la directive (en cours d’élaboration) sur le commerce en ligne et ses conséquences sur le développement et la pérennité du e-commerce en Europe. Cortix attend le 22 juin pour voir quel sort le Parlement Européen réserve à la directive e-commerce.

Même si cette directive cherche à préserver les droits des consommateurs, elle risque de poser problème à l’essor du e-commerce. Ce qui explique les attitudes de la FEVAD (Fédération du e-commerce et de la vente à distance) et du Conseil du Commerce de France qui ont appelé le gouvernement français à ne pas soutenir certaines mesures de cette directive.

La FEVAD et les associations signataires de la déclaration appellent à une approche équilibrée dans le cadre de la directive.

En effet, les signataires ne remettent pas en cause la proposition de directive ni le principe d’une harmonisation des règles basé sur un niveau de protection élevé des consommateurs. Elles interpellent cependant les instances sur certaines mesures, à priori excessives et contraires au droit communautaire. Elles demandent donc un réexamen de ces mesures qui peuvent aussi conduire à une hausse des prix et une perte de choix pour les consommateurs.

Le compromis semble difficile à trouver autour de cette directive

Le 2e amendement de cette directive comporte en effet, les propositions suivantes :

1. allongement du délai de rétractation à un mois,

2. obligation de livrer dans les 27 pays de l’Union Européenne (avec tout ce que cela sous-entend comme problèmes de traduction sur les sites, sans parler des Etats membres dont la monnaie n’est pas encore l’euro !),

3. et le e-marchand se verrait obligé de rembourser les frais de port pour toute commande supérieure à 40€…

mercredi 8 juin 2011

[Cortix News] : La « CDCF » défend ses positions par rapport à l’éventuelle taxation sur le e-commerce

Cortix revient sur le débat concernant l’éventualité d’une taxation du e-commerce et vous informa que la « CDCF » (Commission fiscale du Conseil du commerce de France), s’est opposée à l’idée de cette taxation sur le e-commerce parce que le commerce devient actuellement multi-canal, vu que tous les opérateurs se dotent de sites internet. En effet, l’idée de taxer le e-commerce revient à taxer doublement un commerce qui paie déjà ses taxes.

« Taxer le commerce électronique revient à taxer le commerce, qui paie déjà la Tascom, les taxes foncières, la part foncière de la nouvelle contribution économique territoriale », a déclaré Claude Boulle, le président de la « CDCF ». De leur côté, les sénateurs, par la voix notamment de Philippe Marini et Jean Arthuis se posent le problème de l’équité fiscale et des rentrées fiscales, sans toutefois trouver de réponses adaptées au problème.

Ces sénateurs continuent à s’interrogent sur la création de la taxe « TASCOE » une nouvelle taxe sur le commerce électronique équivalente à la « TASCOM » (une taxe à payer en fonction de la surface commerciale utilisée) qui rapporte actuellement à l’Etat dans les 600 millions d’euros. Les e-commerçants qui utilisent des entrepôts pour stocker leurs marchandises ne paient pas, actuellement, cette taxe.

Cortix vous fait noter qu’il faut éviter toute confusion possible entre les « pure players » du e-commerce et ceux qui profitent d'une réalité physique. L’inquiétude couvre également le bon déroulement de la taxe sur la publicité électronique, appelée « taxe google ».

mardi 7 juin 2011

[Cortix News] e-commerce : que choisir, « pure players » ou distributeurs d’électroménager traditionnels ?

Se positionnant par rapport à une étude commandée par l’Observatoire Yuseo de l'e-Performance, Cortix vous fait remarquer que les distributeurs traditionnels en électroménager sont actuellement, plus performants que les sites e-commerçants.

En effet, l’étude de l’Observatoire Yuseo de l’e-Performance a été réalisée au regard de certaines performances, telles que reflétées par l’usage des internautes, de 8 sites web d’acteurs (de premier plan) commercialisant de l'électroménager. 4 d’entre eux sont avant tout, de grandes enseignes physiques utilisant également le canal web (But, Conforama, Darty et Boulanger), tandis que les 4 autres sont des « pure players » opérant uniquement sur Internet.

Des sites qui inspirent la confiance… mais peuvent mieux faire

Cortix constate qu'il est intéressant de noter le contraste entre le niveau de confiance déclaré par les utilisateurs et l’efficacité de leurs recherches sur les sites. En effet, l’importance des gammes proposées a reçu la note de 7,4/10 et la qualité des informations fournies en ligne s’est vue évaluer à 6,8/10.

Néanmoins, la plupart des internautes ne trouvent pas forcément les produits recherchés. Yuseo attribue cet état de fait à « un manque de flexibilité et d’accompagnement de l’internaute » de la part de certains sites. En particulier quant aux informations apportées aux consommateurs, lors d'une livraison défectueuse, ce qui est loin de les rassurer.

« Darty » talonné par le bon score de « Mistergooddeal »

En dépit du bon score des enseignes traditionnelles par rapport aux « pure players » concernant le tunnel d’achat, pour ce qui est de l’e-performance globale, le leader historique « Darty » se voit rejoint par le « pure players » : Mistergooddeal. A noter que, pour cette édition 2011, les écarts entre les extrêmes se sont creusés : 2,6 points séparent les pires et les meilleures notes en matière de satisfaction utilisateur et 18% la pire et la meilleure performance en terme de parcours client.

[Cortix News] : La croissance exponentielle du e-commerce

Selon l’Observatoire des Usages Internet et Médiamétrie, les Français apprécient les échanges commerciaux sur Internet et c’est parfaitement visible. Cortix vous commente, ci-après, le baromètre trimestriel de l’audience du e-commerce en France au premier trimestre 2011.

Les ventes en ligne de l’hexagone se sont distinguées par une augmentation de 20 % au premier trimestre 2011. L’étude de la Fédération du E-commerce et de la Vente à Distance (Fevad) affiche une augmentation (en C.A.) de 8,8 milliards d’euros par rapport à 2010. Cette croissance est due aux nouvelles créations de sites commerciaux (+28 % sur un an pour atteindre les 85 300 plates-formes) et l’augmentation du nombre des cyber-acheteurs sur ces sites (+12 %)..

Selon les résultats d’audience de l’Internet français, ce marché est toujours en expansion toujours en expansion

Cortix vous fait remarquer aussi que les transactions en ligne réalisées sur les différents sites, ont grimpé de 21 %. Deux citoyens français sur trois estiment fiable l’achat en ligne et font confiance à ce système. Ces cyber-acheteurs représentent 25,8 millions d’internautes.

Sans surprise, « eBay » qui tient le haut du pavé avec 10 444 000 visiteurs par mois, est suivi de peu par « Amazon ». Les agences de voyages sont bien placées au niveau de l’audience sur Internet avec plus de 7 000 000 de visiteurs par mois (« Voyages-sncf .com » couvre 17,5 % de ce marché).

lundi 6 juin 2011

[Cortix News] : Trusted Shops, une certification qui garantit et sécurise les achats en ligne.

Actuellement, avec environ 10 000 boutiques en ligne qui affichent pompeusement son label en Europe, « Trusted Shops » ambitionne de devenir l’un des acteurs majeurs en France de la certification des sites marchands. Il vient d’ouvrir son capital à « Crédit Agricole Private Equity ». Cortix vous parle ci-après, de l’option de l’allemand Trusted Shops qui audite les boutiques en ligne d’après un catalogue (de plus de 100 critères) au terme de cet audit, il décerne son label de qualité.

Les critères de distinction de ce label actuellement si prisé, tournent autour de la solvabilité, la transparence des prix, le service clientèle et la protection des données personnelles.

« Trusted Shops » veut se développer en France et accueille « Crédit Agricole Private Equity », dans son capital

« La France est le troisième plus grand marché européen et enregistre la plus forte croissance du secteur du e-commerce. À fin septembre 2010, plus de 73 000 sites marchands ont été recensés en France. « Je me réjouis de ce nouveau partenariat avec Crédit Agricole Private Equity, qui est l’un des principaux acteurs français dans le financement de PME innovantes», explique Jean-Marc Noël, cofondateur et dirigeant de la société Trusted Shops.

Cortix a noté aussi pour vous, la déclaration de Christian Claussen, Directeur associé senior au sein de l’équipe Capital Risque de Crédit Agricole Private Equity : « Trusted Shops a déjà démontré l’efficacité de son modèle économique. Dans la zone germanophone, la société est le nº 1 des marques qui inspirent confiance. Nous allons apporter notre expérience et faire valoir notre réseau en France et sur les autres pays européens afin d’accélérer le développement de Trusted Shops au-delà de ses frontières ».

Au-delà des garanties affichées, rappelons que les sites testés et validés par Trusted Shops s'engagent aussi à résoudre tous litiges, en mettant à disposition de l'internaute une aide juridique.

[Cortix News] : Une révision du Code du Commerce viserait l’unification des périodes de soldes sur le Net, suivant un calendrier national.

En ce qui concerne les périodes de soldes, le cadre législatif actuel se révèle peu adapté à l'e-commerce. En effet, les cyberacheteurs ainsi que les e-commerçants ne se fixent aucune limite sur le Net. Cortix a noté pour vous, qu’en s'appuyant sur les conclusions d’un rapport du Crédoc et de l'Institut français de la mode (IFM), Fréderic Lefebvre, secrétaire d’État à la Consommation, souhaite abolir certaines dérogations territoriales et fixer de nouvelles mesures qui régiront les périodes de soldes sur Internet.

Actuellement, les sites commerciaux se conforment principalement aux périodes de soldes fixées par les régions où leurs sièges sont implantés. Suite aux nouvelles mesures approuvées par le Parlement européen, les perspectives envisagées par Fréderic Lefebvre visent l’instauration des soldes sur Internet, suivant un calendrier unique au niveau national. Cette nouvelle législation devrait être mise en place en 2012.

Il faut réguler et bien différencier l’affichage des prix de référence et des rabais, d’ailleurs les pouvoirs de la DGCCRF vont être renforcés

Cortix vous fait observer aussi que ce rapport du CREDOC et de l'IFM a mentionné le fait qu’il est impératif de réguler et différencier l’affichage des prix de base et des rabais tout en évitant l'ambiguïté entre les notions de soldes et ventes privées.

La DGCRF (Direction générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes) a relevé, en 2010, 3200 infractions sur 8400 sites contrôlés. D’ailleurs, pour assainir le secteur du commerce en ligne, le gouvernement a aussi annoncé que les pouvoirs de la DGCCRF allaient être renforcés. Lorsqu’elle constate des pratiques illicites, celle-ci a jusqu’à présent principalement recours au dépôt d'une plainte auprès du procureur de la République. Une procédure longue et pas forcément efficace,

La difficulté d’une harmonisation des législations au niveau international.

Il aussi important de mentionner que les boutiques installées à l’étranger proposent souvent des articles en soldes en dehors des périodes légalement fixées en France, d’où la difficulté d’une harmonisation des législations au niveau international, le rapport ne prévoit aucune disposition particulière sur ce point par le gouvernement.