Cortix attire votre attention sur le fait que grâce à la monnaie virtuelle (ou crédits) de Facebook lancée en 2010, les utilisateurs de ce grand réseau mondial, arrivent, , à valoriser les publications de leurs membres, mais aussi d’acheter des objets virtuels dans plus de 150 jeux jeux. A partir de juillet prochain, les développeurs d’applications vont être amenés obligatoirement à utiliser cette monnaie.
La question se pose donc sérieusement pour les e-commerçants. Comment devront-ils réagir ? Cette arrivée massive, sur l’ensemble du réseau Facebook, d’une application de monnaie virtuelle donnerait un véritable coup de fouet aux transactions en ligne et tracerait effectivement la voie vers la première monnaie globale.
Dès sa naissance, cette monnaie virtuelle a permis de développer les différentes communautés de joueurs en ligne.
Parmi les meilleurs exemples, il est à citer « Zynga » l’éditeur de « social games » ayant le plus de succès (avec : Farmville, Mafia Wars, Café World, Texas HoldEm Poker…). Sa force est d’avoir su acquérir en un temps record une grande maîtrise des mécaniques de jeux qu’affectionnent les utilisateurs et leurs dernières créations sont des francs succès (Treasure Isle).
De récentes estimations, affirment que les « social games » de Zynga réunissent 243 millions d’utilisateurs uniques dont 60 millions d’utilisateurs journaliers, Un résultat particulièrement remarquable, d’autant plus qu’ils ont également mis en place un modèle économique redoutable qui a été bien stabilisé depuis. Les revenus proviennent ainsi majoritairement de la vente d’objets virtuels, directement sur le site ou par le biais de cartes prépayées qui sont vendues en grande distribution (les Zynga Game Cards).
Les différentes marques se sont donc mis à utiliser ces crédits Facebook pour animer leur page fan. Les entreprises américaines et anglaises ont enregistré de très bons résultats. Leur taux de transformation atteint 30% grâce à cette nouvelle monnaie.
2011 : Les crédits Facebook débarquent en France
Cortix a noté que depuis janvier 2011, les e-commerçants français ont sauté sur cette opportunité en utilisant ces crédits facebook pour lancer des jeux concours. A titre d’exemple, et en ciblant des objectifs variés tels que l’augmentation du nombre d’inscrits et l’annonce exclusive de certaines promotions, la Redoute a lancé trois opérations spéciales pour ses fans. Tandis quze les éditeurs de jeux se réjouissent aussi d’un tel engouement.