Les offres exceptionnelles proposées sur le Net tous les « lundi » qui suivent Thankgiving font toujours de plus en plus d’émules aux États-Unis et drainent une foule de cyberacheteurs. Cortix vous explique qu’en cette année 2010, les transactions effectuées en e-commerce ont été plutôt particulièrement profitables pour les e-marchands.
Le volume de ces achats en ligne a atteint en 24 heures plus d’un milliard de dollars ! Ce qui représente une augmentation de 16 % par rapport au Cyber Monday de 2009.
L’attrait des offres promotionnelles a incité les cyberacheteurs à dépenser plus.
Le site « Comscore » a mis en relief cette hausse record en expliquant que c’est grâce à une augmentation moyenne d’environ 12% des dépenses individuelles par cyberacheteur et que le nombre de ces cyberclients n’a augmenté que de 4% pour atteindre le nombre total de 9 millions. Gian Fulgoni, fondateur de ce site, a dû reconnaitre aussi qu'une partie importante du boum de ces dépenses dépend directement de l’attractivité des offres promotionnelles.
Nouveau : Une utilisation importante des « smartphones » pour acheter en ligne
Cortix vous fait remarquer que parmi les remarques importantes relevées au niveau des nouvelles tendances en ce denier « Cyber Monday » a vu l’apparition d’une utilisation importante des smartphones pour acheter en ligne, d’où l’apparition du « m-commerce » !
Par rapport à 2009 et selon l’AFP, Paypal a bénéficié d’une majoration de 292 % des paiements via les mobiles, ce qui augure d’un avenir radieux pour le e-commerce.
vendredi 24 décembre 2010
[Cortix actu] : À portée de clics, le cyber-Rush constaté sur Internet est aux couleurs de Noël afin de faire rapidement des achats malins.
Cortix vous dévoile qu’en cette période de fêtes, le budget moyen des Français, pour les achats en ligne de Noël, s’élèverait suivant certaines prévisions basées sur des projections réalisées par Symantec, à 238 euros par personne. Le montant total que les Français s’apprêtent donc à dépenser serait de l’ordre de 5,9 milliards d’euros.
En effet cette étude démontre que 15,2 millions d’internautes ont l’intention, en cette fin d’année 2010, d’acheter via Internet. Les achats ont déjà commencé depuis fin novembre et se poursuivront jusqu’à la veille de Noël.
•65 % d’entre eux seraient des jeunes, âgés de 18 à 24 ans qui surferont à travers les offres en ligne pour établir leurs listes de cadeaux.
•Forcément, ce sont les adultes qui se réservent la plus grosse part de dépenses sur Internet.
•Avec des budgets de 187,92 € pour la région parisienne et 198,55 € pour le Sud-Ouest de l’Hexagone, ces régions s’illustrent par les budgets prévisionnels les plus élevés.
•Parallèlement à ces chiffres, l’étude rappelle quand même que 24 % des personnes sondées demeurent hésitants et appréhendent les achats sur le net de peur, de se faire pirater leurs coordonnées bancaires ou même encore, risquer l’usurpation de leur identité.
Les joies de Noël dépendent aussi du gain de temps réalisé et de l’attractivité des prix
Marc Lolivier, délégué général de la FEVAD (Fédération du e-commerce et de la vente à distance) et qui est aussi Vice-Président de l’Union Française du Marketing Direct et Vice-Président de la Fédération Européenne du Marketing Direct, affirme que la majorité des produits achetés en ligne pour finir sous les sapins de Noël tournent autour de l’électronique, du textile et des cosmétiques.
L’attractivité des promotions des e-marchands se base sur de bas prix et de courts délais de livraison. En effet, la logistique et la livraison des achats sont primordiales dans cette course contre la montre. S’assurer des services d’un bon logisticien est incontournable et jouer la transparence est également recommandé : pour ce faire, les e-commerçants sont encouragés à être compétitifs, mais aussi à communiquer sur les délais de livraison.
En effet cette étude démontre que 15,2 millions d’internautes ont l’intention, en cette fin d’année 2010, d’acheter via Internet. Les achats ont déjà commencé depuis fin novembre et se poursuivront jusqu’à la veille de Noël.
•65 % d’entre eux seraient des jeunes, âgés de 18 à 24 ans qui surferont à travers les offres en ligne pour établir leurs listes de cadeaux.
•Forcément, ce sont les adultes qui se réservent la plus grosse part de dépenses sur Internet.
•Avec des budgets de 187,92 € pour la région parisienne et 198,55 € pour le Sud-Ouest de l’Hexagone, ces régions s’illustrent par les budgets prévisionnels les plus élevés.
•Parallèlement à ces chiffres, l’étude rappelle quand même que 24 % des personnes sondées demeurent hésitants et appréhendent les achats sur le net de peur, de se faire pirater leurs coordonnées bancaires ou même encore, risquer l’usurpation de leur identité.
Les joies de Noël dépendent aussi du gain de temps réalisé et de l’attractivité des prix
Marc Lolivier, délégué général de la FEVAD (Fédération du e-commerce et de la vente à distance) et qui est aussi Vice-Président de l’Union Française du Marketing Direct et Vice-Président de la Fédération Européenne du Marketing Direct, affirme que la majorité des produits achetés en ligne pour finir sous les sapins de Noël tournent autour de l’électronique, du textile et des cosmétiques.
L’attractivité des promotions des e-marchands se base sur de bas prix et de courts délais de livraison. En effet, la logistique et la livraison des achats sont primordiales dans cette course contre la montre. S’assurer des services d’un bon logisticien est incontournable et jouer la transparence est également recommandé : pour ce faire, les e-commerçants sont encouragés à être compétitifs, mais aussi à communiquer sur les délais de livraison.
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jeudi 9 décembre 2010
[Cortix actu] Sénat : Feu vert pour l’instauration de la « taxe » sur la Publicité en ligne et un « niet » sur celle de l’e-commerce.
Cortix revient vers vous quant à la Taxe appelée communément « Taxe Google », pour vous annoncer qu’elle vient d’être adoptée par le Sénat. Ce nouvel amendement qui sera mis en application en 2011, taxera la publicité en ligne à raison de 1%. Par contre, la deuxième proposition établie par le même Sénateur Philippe Marini (rapporteur de la loi de finances), qui concerne la taxation des transactions B To B de l’e-commerce, s’est vue opposer une fin de non-recevoir.
En effet, cette proposition de taxe de 0.5% sur les transactions électroniques (en ligne) B To B n’a pas pu passer le cap du Sénat à cause d’une forte opposition de la part du gouvernement de Nicolas Sarkozy. Cette taxe freinerait et ralentirait toute volonté d’évolution numérique des entreprises françaises. Elle augmenterait la fracture numérique vis-à-vis des autres acteurs européens et mondiaux dans la course en ligne du « Business To Business ». Les relations commerciales interentreprises seraient pénalisées par cette taxe dès qu’elles envisageraient d’effectuer une commande ou une transaction sur internet.
Cortix a relevé que la taxe qui vient d’être adoptée, concernant les annonceurs français en ligne, rapporterait, rien que pour l’État de 10 et 20 millions d’euros. Cette taxe sur la publicité, qui sera appliquée sur le « montant des dépenses engagées pour l’achat de toute fourniture de biens et/ou services effectué au moyen d’une communication électronique », représenterait un montant de 400 à 500 millions d’euros.
Devant l’apport conséquent de cette nouvelle manne financière et comme l’appétit vient en mangeant, un nouveau groupe de travail vient d’être désigné pour bien réfléchir sur la fiscalité du commerce électronique sans nuire aux perspectives d’évolutions des entreprises françaises (voire peut être une taxation sur les boutiques en ligne et les magasins en dur) …!
En effet, cette proposition de taxe de 0.5% sur les transactions électroniques (en ligne) B To B n’a pas pu passer le cap du Sénat à cause d’une forte opposition de la part du gouvernement de Nicolas Sarkozy. Cette taxe freinerait et ralentirait toute volonté d’évolution numérique des entreprises françaises. Elle augmenterait la fracture numérique vis-à-vis des autres acteurs européens et mondiaux dans la course en ligne du « Business To Business ». Les relations commerciales interentreprises seraient pénalisées par cette taxe dès qu’elles envisageraient d’effectuer une commande ou une transaction sur internet.
Cortix a relevé que la taxe qui vient d’être adoptée, concernant les annonceurs français en ligne, rapporterait, rien que pour l’État de 10 et 20 millions d’euros. Cette taxe sur la publicité, qui sera appliquée sur le « montant des dépenses engagées pour l’achat de toute fourniture de biens et/ou services effectué au moyen d’une communication électronique », représenterait un montant de 400 à 500 millions d’euros.
Devant l’apport conséquent de cette nouvelle manne financière et comme l’appétit vient en mangeant, un nouveau groupe de travail vient d’être désigné pour bien réfléchir sur la fiscalité du commerce électronique sans nuire aux perspectives d’évolutions des entreprises françaises (voire peut être une taxation sur les boutiques en ligne et les magasins en dur) …!
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